Mia Khalifa fait des révélations inattendues sur Zinédine Zidane
Bien qu’elle ait récemment fait parler d’elle pour avoir donné de la force à des rappeurs français, Mia Khalifa est avant tout une grande fan de football. Lors d’une entrevue accordée à AFTV en 2019, l’ancienne actrice de charme avait dévoilé son TOP 3 de joueurs du ballon rond. Découvrez pourquoi Zinédine Zidane avait été évoqué.
Zinédine Zidane est une légende du football. Face à l’impact de sa carrière sur de nombreuses personnes, il n’a pas hésité à calmer le jeu concernant l’histoire de boycott de la Coupe du monde 2022. Mais ce n’est pas pour cette raison que Mia Khalifa a parlé de lui.
Retour en 2019. Mia Khalifa a donné une entrevue à AFTV. Lors de celle-ci, la jeune femme a eu l’occasion d’évoquer son Top 3 des plus grands joueurs du ballon rond selon elle. Celle qui s’est attirée les foudres à cause de sa nouvelle marque de bijoux a justifié son coup de coeur par… son coup de boule donné à Marco Materazzi lors de la finale de Coupe du monde 2006 : « Zinédine Zidane parce que c’est la chose la plus excitante que j’aie vue se produire dans un match de football (…) J’aime la violence et je déteste qu’il y ait autant de flops dans le football. Oui ! Le coup de boule était le plus grand moment de tous les temps » a assuré l’ancienne actrice de charme.
In today’s bizarre #htafc-related news: @AaronMooy is Mia Khalifa’s third favourite current player 🤷🏻♂️ pic.twitter.com/ABly6GxwrQ
— Oli (@olifisher) January 14, 2019
Zinédine Zidane revient sur son mythique coup de boule
En parlant de son geste impossible à ignorer lorsque l’on évoque le parcours de la star française, Zinédine Zidane a donné des éléments supplémentaires à ce sujet à l’occasion de ses cinquante ans. « Cela se termine moyen pour moi. Je ne suis pas fier. Ce jour-là, ma maman est très fatiguée. J’ai plusieurs fois ma sœur au téléphone dans la journée. Je sais que ma maman n’est pas bien mais ce n’est pas très grave non plus. Cela m’interpelle néanmoins. Je reste quand même concentré. Mais ce sont des choses qui se bousculent. La pression, ceci, cela. Lui, il ne parle pas de ma mère. Il a souvent dit qu’il n’avait pas parlé de ma mère, c’est vrai. Mais il s’en est pris ma sœur, qui était auprès de ma mère à ce moment-là. Sur un terrain, il y a déjà eu des insultes. Tout le monde se parle, parfois mal, mais tu ne fais rien. Là, ce jour-là, il s’est passé ce qu’il s’est passé. Il a déclenché quelque chose en parlant de ma sœur Lila. L’espace d’une seconde. Et c’est parti… Mais après, il faut accepter. Je ne suis pas fier mais cela fait partie de mon parcours. À ce moment-là, j’étais plus fragile. C’est parfois dans ces moments que tu peux faire quelque chose qui n’est pas bien… « , a-t-il confié au micro de l’Equipe.
Avant d’ajouter : « Cela se termine comme ça. Thierry Gilardi avait raison aux commentaires: « Pas comme ça… ». Mais voilà. C’est comme ça. C’est dur. Mais c’est ma carrière. L’histoire de ma vie. Comme mes deux buts en 1998 en finale, a conclu l’entraîneur de 50 ans. C’est pour ça que je dis qu’avec les Bleus ce n’est pas fini. Quelque part, je n’ai pas envie de finir comme ça. Ce n’est pas terminé ».