« Votre fils est un prédateur » : La famille de Diddy vit un calvaire depuis son arrestation
Diddy est derrière les barreaux depuis le mois de septembre dernier. Mais le célèbre producteur, qui avait demandé une troisième fois une libération sous caution, ne sera pas libre avant le procès, prévu pour le mois de mai. Sa famille souffre de cette incarcération, Gentsu vous en dit plus.
Il y a un an, Cassie prenait la parole au sujet des violences subies à cause de Diddy à l’époque où ils étaient ensemble. Et s’il a nié les faits, le producteur n’a pas pu mentir éternellement puisqu’une vidéo de l’époque a refait surface. Puis, au mois de septembre dernier, le FBI a finalement arrêté à le producteur à New-York. Depuis, plus de 120 personnes ont pris la parole et ont décidé de le mener en justice. Malgré la situation et la date de son procès fixée au 5 mai 2025, le producteur peut toujours compter sur le soutien de ses proches y compris de sa mère.
« Votre fils est un prédateur » : La famille de Diddy vit un calvaire depuis son arrestation
Au début du mois de novembre, le célèbre producteur a fêté ses 55 ans en pris*n. À cette occasion, ses trois fils aînés, Quincy, Justin et Christian, ainsi que trois de ses filles, les jumelles Jessie et D’Lila, et la petite dernière Love, ont pu avoir leur père au téléphone afin de lui souhaiter un joyeux anniversaire. Une vidéo du moment a été postée sur les réseaux sociaux, permettant d’entendre la voix du rappeur pour la première fois depuis son incarcération.
Arrêté à New York en septembre dernier, Diddy a déjà tenté deux demandes de libération en échange de plusieurs millions de dollars. Sans succès. Et ce vendredi 22 novembre 2024, le rappeur a de nouveau défendu une demande de remise en liberté devant le tribunal de Manhattan. Sa famille était présente, et notamment sa mère Janice Combs qui a été interpelée par des passants aux alentours du tribunal. « Votre fils est un prédateur ! », lui ont-ils crié.
Pour la troisième fois, les procureurs ont refusé la libération de Diddy car celui-ci aurait contacté des témoins et utilisé des moyens de communication non autorisés pendant sa détention. Un comportement sévèrement réprimé et une accusation qui pourrait peser lourd pour la suite.