Snoop Dogg : sa rouleuse de blunt balance sur sa consommation
Décidément, les rappeurs américains ne se refusent rien. Après Offset et son employé pour tenir son parapluie ou encore Soulja Boy et son homme porte-sandwich, Snoop Dogg n’a pas hésité à engager une personne pour lui rouler ses joints. D’ailleurs, son employée a fait des révélations à ce sujet.
Cela ne date pas d’hier, Snoop Dogg est un grand amateur de verdure. D’ailleurs, il s’est déjà livré sur sa consommation par le passé. En effet, le rappeur qui s’est réconcilié avec Eminem grâce aux problèmes de Dr. Dre a avoué fumer pas moins de quinze joints par jour. Et pour y parvenir, l’artiste a choisi d’engager une personne qui a pour simple et unique mission de lui rouler ses blunts.
« C’est son J-O-B, sa profession. Sur son CV, il est écrit : ‘Que faites-vous ?’ ‘Je suis un rouleur de blunts’.R-B-P. Rouleur de blunts professionnel. Si vous êtes doué pour quelque chose dont j’ai besoin, j’embauche (…) Tout ce qui est gratuit pour moi, il l’a aussi. Si je reçois des vêtements gratuits, ils lui en donneront aussi » a confié Snoop Dogg à ce sujet au micro de SiriusXM d’Howard Stern en 2019. Prenant son rôle très au sérieux, l’homme de 51 ans lui a même offert une belle augmentation.
Snoop Dogg : sa rouleuse de blunt balance sur sa consommation
Snoop Dogg paye sa rouleuse de joints près de 50 000 dollars par an. Un joli pactole pour cette mission essentielle aux yeux du rappeur. L’employée en question répond au nom de Renegade Piranha. Lors de son passage dans l’émission de radio australienne The Kyle and Jackie O Show, la jeune femme s’est confiée sur son activité et sur sa technique pour rouler entre 75 et 150 joints par jour. « Depuis que j’ai été embauché, j’ai dû rouler plus de 450 000 joints. Je fais environ une demi-livre par jour, soit 75 à 150 joints » a-t-elle avoué.
Puis, l’employée a raconté comment s’est déroulée son recrutement : « Je me suis présentée au rendez-vous, ils m’ont fait rouler, et m’ont dit que j’étais géniale. […] Ils m’ont dit de revenir le lendemain pour un « roll-off » avec d’autres personnes. Il y avait un ingénieur du son de Snoop, et un rouleur de cigares vénézuéliens. Et je les ai fumés, c’est le moins qu’on puisse dire !« . Un métier pas comme les autres !