Akon concernant son projet Akon City : « la plus grosse c… que j’ai faite »
Akon est de retour avec un album intitulé Not Guilty. A cette occasion, le rappeur s’est rendu dans plusieurs média français dont la radio Mouv’. L’artiste est revenu sur son projet Akon City lancé il y a quelques années de cela. Gentsu vous donne tous les détails.
Il y a quelques jours de cela, les propos d’Akon sur le titre de Booba qui l’a inspiré pour son feat avec 50 Cent ont fait le buzz. Et si la star est actuellement en France, c’est pour la promotion de son opus Not Guilty. Bien que son actualité musicale intéresse fortement les journalistes, un autre sujet a été mis sur la table durant sa visite dans les locaux de Mouv’. Souvenez-vous, l’artiste a annoncé en 2018 qu’il comptait fonder sa propre ville. Akon City serait un endroit futuriste rappelant le Wakanda. Il se situe dans le petit village de Mbodiène, sur les rives de l’Océan atlantique, à une centaine de kilomètres au sud de Dakar.
Deux ans plus tard, Akon posait la première pierre de sa ville et a annoncé que les travaux débuteraient en 2021. Mais quatre ans plus tard, où en est-il ? L’interprète de Locked Up a confié dans un premier temps :
Je donnerais plus d’informations dans le futur parce que je pense que la plus grosse co*nerie que j’ai faite par rapport à ce projet c’est d’en avoir fait la promotion avant même que ça commence. Les gens me demandent comment ça se passe et moi je suis un divertisseur, un musicien, un amuseur finalement donc je n’avais pas vraiment de connaissances des difficultés de ce projet.
Akon concernant son projet Akon City : « la plus grosse c… que j’ai faite »
Akon City est toujours d’actualité mais l’artiste préfère prendre son temps pour en parler désormais. Il poursuit :
J’ai appris de cette erreur. Mais très bientôt quand on va se rapprocher des vraies annonces, vous en saurez plus.
Puis, Akon a rappelé son objectif avec cette ville à venir :
Le projet avec Akon City c’est de faire un exemple du futur de l’Afrique. L’Afrique c’est le continent où il y a les meilleurs pays, les meilleures ressources, les meilleurs gens, les meilleurs endroits mais ça n’a jamais été développé (…) Je n’ai pas trop envie d’en parler car ce sont des obstacles un peu politiques. Quand on a un projet comme ça, ça demande énormément de travail et de patience.
Il ne vendra donc plus la peau de l’ours avant de l’avoir tu.er. Il faudra être patients pour en savoir davantage !