Vald : son album « V » est certifié disque d’or en seulement trois jours
Vald a fait son grand retour le vendredi 4 février, avec un nouvel album disponible sur toutes les plateformes. Et le succès est au rendez-vous puisque l’opus a été certifié disque d’or en seulement trois jours. On vous explique tout dans l’article ci-dessous.
Après plus de deux ans d’absence, Vald a fait son grand retour avec un nouvel album. Intitulé V, le projet comporte quelques collaborations intéressantes : Orelsan, Hamza et Suikon Blaz AD. Pour la promotion de l’opus, le rappeur a décidé de sortir le format physique sous plusieurs versions. Une stratégie qui s’est avéré payante puisque de nombreux fans se sont rués sur les différents modèles proposés.
Et les premiers chiffres sont vraiment impressionnants. En effet, en seulement trois jours, l’album de Vald s’est écoulé à plus de 51 000 exemplaires. Le projet est donc déjà disque d’or. L’artiste originaire d’Aulnay-sous-Bois se dirige tout droit vers le disque de platine.
🚨 Vald vend 51 265 exemplaires en 3 jours avec son album « V » !
Disque d’or en 3 jours 👏 @vald_ld pic.twitter.com/wI9J0AHOcx
— Midi/Minuit (@midiminuit__) February 7, 2022
Vald révèle ce qui « le dégoûte » le plus dans le rap game
Pour la promotion de cet opus, Vald a accordé plusieurs interviews pour différents médias. Dans l’une d’entre elle, le rappeur originaire s’est exprimé sur ce qui le dégoûte le plus dans le rap game. En effet, quand le journaliste lui a demandé ce qu’il pensait du single porteur ou encore « banger », l’artiste a confié que pour lui c’est se forcer à rentrer dans une case. Il poursuit: « J’ai l’impression que c’est surtout répondre à un marché, répondre à un format. J’ai l’impression d’avoir compris ça et c’est ça qui me gonfle, répondre au single porteur. Je n’en peux plus du single porteur ».
Avant de conclure : « D’ailleurs il y a toujours un single qui porte, on parle de vrais singles porteurs, ça c’est pas de la musique, ça c’est insupportable, c’est de la spéculation. Un truc de banquier, un truc de mec de maison de disque. On met quoi en avant ? Ça c’est insupportable (…) Tu le fais et après tu dois le présenter, quelle étape à la fin. Je préfère que les gens l’écoutent (…) Il y a un côté marchand de tapis. Ça me dégoute (…) Je ne sais pas, tout cela a un côté emmerdant, ce n’est pas un côté de l’art ».