SCH : l’expression « mon/ma gâté(e) » pourrait rentrer dans le dictionnaire
Lors de son passage dans Hot Ones, SCH a appris une sacrée nouvelle puisqu’il se pourrait que son expression culte intègre le dictionnaire…avec sa propre définition. Gentsu vous propose d’en savoir plus.
Hot Ones a ouvert son année avec un invité de taille puisqu’il s’agissait de SCH. Au fil des questions, Kyan Khojandi et le rappeur ont dégusté des sauces de plus en plus épicées. Cela a été l’occasion pour le S de partager plusieurs anecdotes dont la fois où il a échappé au pire lors d’une virée en jet ski.
SCH a notamment évoqué son défunt père et de ce qu’il aurait pensé de sa carrière :
Il n’était pas tout le temps facile à vivre. Il a vu, je crois que cee qu’il a kiffé c’est la cover de l’album [NDLR : A7]. Après le rap lui… générationnellement c’est pas un truc auquel il adorait. Je pense qu’il n’aurait jamais compris le peura. Pour lui c’était une sous culture tu vois.
Celui qui a été taclé par Booba a ensuite décrit leur relation :
C’était pudique, on ne s’est jamais dit je t’aime mais il avait beaucoup de coeur, c’était un gros bosseur (…) un niveau de battance de coui*les jamais égalé (…) il y a des choses que je comprends aujourd’hui où je me dis p*tain pourquoi tu ne l’as pas compris à l’instant T. Ca fait partie de mes regrets.
SCH : l’expression « mon/ma gâté(e) » pourrait rentrer dans le dictionnaire
De nombreuses expressions viennent en tête lorsque l’on pense à SCH. C’est le cas de « c’est carrément incroyable mec », « c’est le S Goetze », « Mathafuck » ou encore « Ma/Mon Gaté ». D’ailleurs, l’équipe de Hot Ones a annoncé au rappeur que son expression allait potentiellement intégrer le dictionnaire le Petit Robert avec sa propre définition.
Il n’en fallait pas plus pour combler de joie SCH. Pour ceux qui ne savent toujours pas ce que cela signifie pour lui, il a rappelé qu’à la base ça voulait dire câlin mais aussi quelque chose de mou et de tendre. L’animateur a invité Géraldine Moinard, directrice de rédaction chez les éditions Le Robert. Ensemble, ils ont essayé de se mettre d’accord sur la définition qui serait décrite comme un « appellatif affectif ». Rendez-vous en mai pour savoir si cela va être validé.
