Pour Booba, la deuxième saison de Nouvelle Ecole est un véritable « fiasco »
Ce mercredi 31 mai, Netflix a mis en ligne le dernier épisode de Nouvelle Ecole, dévoilant notamment le grand gagnant des 100 000 euros. Mais la fin du programme a laissé un goût amer pour les spectateurs, mais aussi pour Booba. Gentsu vous explique tout dans l’article ci-dessous.
Depuis quelques semaines, l’émission de Netflix fait beaucoup parler sur les réseaux sociaux. Il faut dire que le trio qui compose le jury de Nouvelle Ecole a fait couler beaucoup d’encre dans les médias. On se souviendra notamment de l’embrouille entre Shay et une candidate du programme. Mais les choix des artistes ont également lancé des débats sur Twitter par exemple. Surtout lorsque Niska n’a pas choisi Nayra, qui avait réalisé une grosse performance devant SLKrack et Bayass. L’élimination de WarEnd a également marqué les esprits des spectateurs. Le jeune rappeur figurait parmi les favoris à la victoire finale.
Booba fustige la deuxième saison de Nouvelle Ecole
Depuis la sortie du programme sur la célèbre plateforme de vidéos, le Duc de Boulogne ne fait que critiquer et montrer son incompréhension. Tout d’abord, Booba ne comprend pas pourquoi Shay, SCH et Niska sont les membres du jury. Il avait même expliqué que les trois artistes n’étaient pas producteurs et il n’y avait donc aucune légitimité. L’auteur d’ULTRA avait clashé la rappeuse belge, en disant notamment qu’elle n’écrivait pas ses textes.
Mais ce n’est pas tout. B2O ne comprend pas la nouvelle génération de rappeurs. Il a même critiqué le vainqueur de l’émission, qui a été accusé de vi*l par une femme au mois d’août 2022. Pour l’artiste originaire du 92, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase, il ne comprend pas sa victoire. En légende de sa publication, il a lâché : « Quel fiasco ».
Quel fiasco!!! 🫣 https://t.co/X2zKtSNgIU pic.twitter.com/Nq6azsxn8g
— Booba (@booba) June 1, 2023
À noter que Netflix a décidé de réagir aux accusations concernant Yuz Boy. La plateforme souhaite mettre fin à la polémique grandissante :
Nous menons un gros travail au moment de la sélection des candidats pour nous assurer qu’il n’y ait pas de fausse problématique, notamment avec des antécédents judiciaires ou des tweets. Ce n’était pas le cas. Nous n’avions aucune raison de douter de leur moralité.