PLK condamné à un an de prison après s’en être pris à un policier
Il y a quelques mois, PLK avait été arrêté à la fin de l’un de ses showcases après s’en être pris physiquement à un policier. La justice a rendu son verdict et le rappeur a été condamné à un an de prison à domicile. Gentsu vous explique tout.
En juillet dernier, le show de PLK dans une discothèque à la Grande Motte a pris une tournure inattendue. Et pour cause, le rappeur a été arrêté après s’en être pris physiquement à un policier. » Il est reproché à l’intéressé, à la sortie d’un concert qui s’est déroulé le 18 juillet à La Grande-Motte, d’avoir participé à une altercation ayant motivé l’intervention de la police municipale. Alors que les policiers tentaient de séparer les protagonistes, le mis en cause a frappé un policier municipal d’un coup de poing au visage », a expliqué le procureur de la République à Montpellier Fabrice Bélargent au micro de l’AFP. L’artiste avait été placé en garde à vue et son jugement a été prescrit pour le 27 octobre.
@PLK75 embarqué par la Police après son showcase 😱 pic.twitter.com/40BlsHyjBr
— Sikagz (@jestemsikagz) July 20, 2022
PLK condamné à un an de prison après s’en être pris à un policier
Ce jeudi 27 octobre, le tribunal judiciaire de Montpellier a reconnu PLK coupable de « violences volontaires sur dépositaire de l’autorité publique n’ayant pas entraîné une ITT supérieure à huit jours ». D’après Midi Libre, l’artiste de 25 ans a écopé d’un an de prison à domicile sous surveillance électronique. « Il s’agit de 12 mois ferme en théorie, aménagés en détention à domicile. À vous de respecter (le jugement) pour éviter la prison » a expliqué le magistrat.
🚨PLK vient d’être condamné à 1 an de prison à domicile sous surveillance électronique !
Le rappeur était impliqué dans une bagarre en juillet dernier. pic.twitter.com/lbj1yRR8zB
— Kultur (@Kulturlesite_) October 27, 2022
Selon PLK, il voulait venir en aide à une femme au moment des faits qui s’était retrouvée dans la bagarre et a précisé qu’il n’avait pas frappé le policier. « J’ai juste voulu arrêter la situation. C’était dans la pénombre, la tenue des policiers est sombre, je n’ai pas reconnu cette personne comme étant un policier et, à la seconde où j’ai compris mon erreur, j’ai arrêté » a affirmé Matthieu Pruski de son vrai nom. Si celui qui a déjà été jugé pour des faits similaires en 2016 fait appel dans les dix jours, il pourra continuer à donner des concerts, le temps qu’intervienne un jugement définitif. A suivre.
Dans le reste de l’actualité, Wejdene a enfin pris la parole après plusieurs semaines d’absence.