« Nous avons commencé par des sociétés pour… » : Gazo explique comment il gère son business

Le 14 Déc 2024 à 20:49 par djfreak

Ce vendredi 29 novembre, Gazo a fait son retour dans les bacs avec Apocalypse. Pour la promotion, l’artiste a accordé une interview à Forbes, où il parle de son business. Gentsu vous donne tous les détails.

L’année dernière, Gazo s’associait à Tiakola pour un projet commun La mélo est gangx. Mais pour ceux qui l’attendaient en solo, le rappeur a promis qu’il préparait quelque chose pour les mois à venir. Et finalement, il a signé son grand retour avec son premier album solo intitulé Apocalypse. Disponible depuis le 29 novembre dernier, l’artiste a connu le meilleur démarrage de l’année en seulement 24 heures. On y retrouve quinze titres dont des collaborations avec Fallly Ipupa, Yâmé, JuL, Morad, OrelSan, La Mano 1.9 ou encore Offset. 

Gazo parle de son business

Pour la promotion, Gazo a vu les choses en grand. En effet, le célèbre magazine Forbes a décidé de consacrer un entretien au rappeur français, chose qui arrive très rarement. Mieux, ils ont même passé 24 heures à ses côtés, histoire de voir à quoi ressemble le quotidien d’un rappeur entrepreneur qui vient de sortir un album, et dont le succès est au rendez-vous.

Gazo a notamment emmené Forbes dans un complexe sportif qui va aider les jeunes en banlieue parisienne, construit en collaboration avec la mairie. On apprend également dans l’entretient que la team BSB, dirigée par Gazo, a signé un juteux contrat avec Sony et qu’on va donc avoir du lourd qui va arriver de ce côté là. Il explique également comment il a structuré son business :

« Nous avons commencé par des sociétés pour… » : Gazo explique comment il gère son business « Nous avons commencé par des sociétés pour… » : Gazo explique comment il gère son business

Nous avons commencé par des sociétés pour nos activités musicales. Déjà le label, puis une société pour gérer mes éditions et celles des auteurs et compositeurs que nous signons, car il était important de segmenter les activités. Ensuite, on a monté BSB TXTL, pour notre marque de vêtements et une autre société pour gérer les événements. De là, on a pensé à transformer toutes ces sociétés en filiales et créer notre groupe. À partir de ce moment, on peut en effet parler de « galaxie BSB ». Nous avons d’ailleurs diversifié nos activités avec la BSB League, deux salons de coiffures (Only-Cut et Santa Mari Juanna), des restaurants en cours de création et des investissements divers dans des projets de proches auxquels nous croyons.

Un véritable homme d’affaires donc !
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