Niro parle des réseaux sociaux, des LGBT et d’Israël dans un titre qui risque de faire « Polémique »

Le 27 Avr 2024 à 13:55 par djfreak

Ce vendredi 26 avril, Niro a décidé de faire son grand retour avec un nouveau morceau. Dessus, le rappeur originaire de Blois s’est exprimé sur trois sujets sensibles, Gentsu vous explique tout.

En 2023, Niro nous présentait son dernier album, intitulé Taulier. Le projet a rencontré un franc succès, surtout avec le morceau Qui sait ?, en collaboration avec ElGrandeToto et certifié single de diamant.

Aujourd’hui, l’artiste a décidé de donner du nouveau à ses fans. Ce vendredi 26 avril, il a dévoilé son nouveau morceau, intitulé Polémique. Dans ce titre, Niro s’exprime sur trois sujets, découpé en trois couplets. Dans le premier, il s’agit des réseaux sociaux :

Les réseaux sociaux ça crée des commères, des balances. Au lieu d’créer des vaillants, des commercеs du talent. T’es démodé quand tu pousses à la réflеxion, mais ça pousse des gens au suic.ide, à la dépression (…) Y a que derrière leur iPhone qu’ils pensent nous mettre la pression. La liberté d’expression, ça libère des répressions, les réseaux c’est de la me.rde.

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Ensuite, il continue avec les LGBT :

J’ai l’impression que le seul combat de leur vie c’est de nous faire accepter leur sexualité. D’ailleurs, on a déjà nos soucis, c’est pas nous devant ta glace. Chacun fait c’qu’il veut de son cu.l, on chiera pas à sa place. Les gens ont leurs galères à gérer, ils en ont rien à fou.tre que Laurent bai.se avec Thierry ou qu’il soit sur Onlyfans (…) Je suis pas homophobe, commencez pas à annuler mes concerts.

Niro parle du conflit Israélo-palestinien dans son nouveau morceau

Pour le troisième couple, Niro s’exprime sur le conflit Israélo-palestinien. Il commence par dire :

Avant d’commencer sur le sujet qui fait pleuvoir les critiques. Sachez-le, j’suis un humain, c’est mon seul parti politique. Deuxièmement, j’vais donner mon avis en restant objectif. Mais surtout, commencez pas à dire que je suis un antis.émite. 

Puis il enchaine :

Faut vraiment être un fils de pu.te pour pas être touché par la mo.rt d’un bébé innocent, à peine accouché. Les politiques manipulent la presse. Sur le chemin d’la haine pas besoin d’GPS, c’est pas la peine, ils connaissent bien l’adresse (…) L’hypocrisie rentre en scène. Car on le sait que ça a pas commencé le 7 (octobre), ça dure depuis 47, je te renseigne.

Un morceau qui ne va pas passer inaperçu.

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