Lacrim explique les origines de son embrouille avec DJ Kore
Depuis la sortie de Persona non grata, Lacrim enchaine les médias afin de promouvoir au mieux son nouvel opus. Lors d’une récente interview, le rappeur a expliqué les origines de son embrouille avec DJ Kore, on vous explique tout dans l’article ci-dessous.
Le 10 décembre dernier, le rappeur nous présentait son nouvel album, Persona non grata. Afin de promouvoir au mieux ce nouvel opus, Lacrim a accordé un long entretien à Booska-P. L’artiste est revenu sur son parcours, mais également ses relations avec les autres artistes. Le rappeur du 94 s’est exprimé sur son embrouille avec DJ Kore. « Je pense que déjà, il y a un peu d’égo… Peut-être des deux parts … Quand je suis sorti de prison, je voulais être mon propre patron, DJ Kore, je pense qu’il avait d’autres projets. Donc on ne s’est pas entendu sur ça. », a-t-il déclaré.
Lacrim a expliqué que des personnes se sont mêlées de cette histoire, ce qui a envenimé les choses : « J’étais en son-pri et de dehors j’entendais des sons de cloches. En temps de prison, une information, tu la multiplies par 4. J’étais un peu énervé et je suis sorti dans un mauvais état d’esprit. J’en voulais à mon entourage ».
Lacrim explique avoir été utilisé par SCH
Par le passé, SCH et Lacrim nous ont offert plusieurs collaborations. Malheureusement, leur relation fait désormais partie du passé. D’après l’artiste du 94, leur relation est au point mort depuis quelques temps. Et depuis, les internautes s’interrogent sur la brouille entre les deux artistes.
Lors d’un entretien accordée avec nos confrères de Booska-P, Lacrim a expliqué : « J’ai eu des antécédents avec SCH par exemple où je n’ai pas eu de signature contractuelle … SCH c’est un artiste qui devient patron après parce que je rentre dans la boucle avec mes potes, avec mes copains et on enlève ce producteur et on met SCH producteur. Tu vois, je fais monter sa mère sur Paris et je lui ouvre une boîte. Sa boîte Baron Rouge, c’est mon avocat, c’est nous qui l’avons payé sa boîte et on est censé être associé ce qui ne s’est jamais passé donc, je vous le dis, dans le futur, je ne me ferais plus bais*r ».
