Guizmo fait des confidences touchantes sur sa femme alias « son gars sûr »
Vivons heureux, vivons cachés. Même si Guizmo n’a jamais caché qu’il était marié et père de deux enfants, le rappeur reste plutôt pudique à ce sujet. Cela dit, il n’a pas hésité de son entrevue dans Thérapie pour faire de belles révélations concernant la femme qui partage sa vie et c’est touchant. Regardez, c’est adorable !
Il y a quelques mois, le clash opposant Guizmo à Nekfeu a fait beaucoup de bruits. Il est vrai que depuis son détachement soudain de l’Entourage, les fans ont longtemps été dans l’incompréhension. Complètement métamorphosé depuis ses débuts, celui qui a récemment participé à Rap Jeu a fait des confidences sur sa vie privée au cours d’une entrevue accordée à VICELAND à qui il a raconté:
Depuis mes 25 ans, je suis rentré dans une autre gestion de l’argent, une autre vision du rap. (…) J’essaye aussi de faire passer un message aux jeunes. Que voilà, j’ai traversé des rivières d’alcool, des nuages de fumée et que… j’ai rien eu de bénéfique dans tout ça (…) c’est un truc d’égoïste, le rap. Si tu penses à tes enfants pendant que t’écris, c’est… Par contre, j’ai déjà écrit pour mon fils. Mais j’écris des trucs des fois où pas une seconde je vais penser à mes enfants (…) J’évite de trop faire rentrer le rap à la maison, c’est dur pour ma femme. Je n’ai pas envie que le premier souvenir de mes enfants ressemble à ça : leur père, qui vient de fumer un joint, en train de rapper des choses qu’ils ne comprennent pas, au milieu de la cuisine.
En parlant de sa femme, cette dernière a un rôle crucial dans sa vie.
Guizmo se livre sur sa femme, qui est également « son poto »
C’est au cours de ce même entretien que le rappeur a fait une déclaration d’amour à sa façon à son épouse. Et c’est plutôt surprenant. Guizmo a confié:
Je suis très complice avec ma femme. Je lui confie tout. Je suis très complice avec elle. Elle connaît mes forces et mes faiblesses. Mes pires cauchemars. Mes plus beaux rêves. Tout. C’est mon gars sûr. Comme on dit dans la rue, c’est mon Djo. C’est mon poto. La haine, ça part comme ça. En se livrant, en discutant. En se mettant à nu devant quelqu’un qui ne dira jamais rien à personne. C’est rare ça.
Des propos qui risquent d’être approuvés par Ninho qui trouve que la femme est plus indispensable qu’un poto.