Naza revient sur le flop de son rachat d’un club de football avec Loris Giuliano
Naza et Loris Giuliano sont non seulement amis, ils partagent leur amour pour le ballon rond. Invité dans The Bridge, le rappeur est revenu sur le flop de leur club belge, Durbuy. Gentsu vous en dit plus.
Entre le rap et le football, c’est une grande histoire d’amour. D’ailleurs, de nombreux artistes ont déjà cité des joueurs comme des clubs dans leurs lyrics. D’autres ont même jonglé entre leurs deux passions. C’est le cas de Dinor RDT, Guy2Bezbar ou encore Beendo Z qui vise la Coupe du monde 2026.
Mais il y a des rappeurs comme Naza, Heuss l’enfoiré ou encore Kalash Criminel qui sont allés encore plus loin en investissant dans des clubs de foot. En plus d’être agent de joueurs, le Sevranais avait tenté de racheter un gros club comme il l’a confirmé lors de son passage dans l’émission Salon VIP sur beIN Sports :
A la base, c’était en vente donc je me suis proposé à racheter le club. Mais par rapport à mon futur travail d’agent, il y avait conflit d’intérêt donc ça n’a pas pu se faire. Je devais racheter Sedan c’est pour ça qu’il avait ce rendez-vous.
Naza revient sur le flop de son rachat d’un club de football avec Loris Giuliano
Il y a quelques mois, Loris Giuliano est passé chez Durbuy où il a provoqué une altercation générale. Mais peu le savent, le vidéaste s’était associé à Naza suite à son rachat du club belge. Lors de son passage dans The Bridge, le rappeur s’est exprimé à ce sujet et a raconté :
L’histoire pour rigoler est allée trop loin. Moi et lui, on allait reprendre un club, laisse tomber, un stade de fou et tout. Un club qui a coulé là. Loris maintenant comme ça, on est posés, je lui dis que j’ai un club. Et lui c’est vraiment un gros fan de football. Pire que moi. Il me dit : « t’as quoi toi ? Un club ? ». Je dis ouais. Il me dit : « vas-y viens on relance le truc ». Je lui dis les frérots là-bas, là c’est pas payé tout ça. Il me dit « t’inquiètes vas-y on va trouver ». Je lui dis que moi j’ai pas envie de mettre, ça m’a dégoûté en fait là ce qu’il s’est passé. Il me dit ‘t’inquiètes’.
Naza poursuit :
Il trouve deux trois sponsors, on fait un truc. Je me dis « ah ouais déjà c’est carré ». Janvier, il est coach. On a gagné un match, on faisait que perdre. J’avais pris des petits de paname, on jouait contre des petits mécanos (…) j’avais pris des petits renois bien costauds (…) j’ai jamais compris le truc. Quand Loris arrive, on perd plus mais il n’y avait plus rien à faire.
Au moins, ils ont essayé !
