Maes s’en prend encore une fois à Booba : « Tu n’as rien d’Africain »
Depuis quelques semaines, le clash entre les deux artistes s’est intensifié. Sur ses réseaux sociaux, Maes continue de provoquer son rival avec des publications. Dernièrement, l’artiste du 93 a révélé le premier nom d’artiste de Booba, en lui adressant un message. Gentsu vous explique tout dans l’article.
Le 10 mars dernier, Maes a fait son grand retour avec un nouvel album, intitulé Omerta. Dessus, le rappeur du 93 a invité du beau monde puisqu’on retrouve des collaborations avec : Niska, Gims, Kayna Samet, Morad, Gazo et Koba LaD. Le succès est au rendez-vous puisqu’il a écoulé plus de 17 000 exemplaires lors des sept premiers jours. Aujourd’hui, l’opus s’approche petit à petit du disque d’or.
Depuis la sortie de cet opus, le clash avec Booba a pris de l’ampleur. Tout d’abord, l’auteur d’ULTRA a critiqué les premiers chiffres de l’artiste originaire de Sevran.« @MaesOfficiel petit lâche tu veux parler des autres ? Si tu es si chaud on sort un son en même temps si tu veux je te laisse deux ou trois semaines tu vas voir ce que je vais te mettre rigolo !!! Allez va pleurer dans les jupons d’Maeva et va acheter les couches petit joueur… »
Mais quelque temps plus tard, l’artiste Sevranais a décidé de lui répondre. Il s’est même moqué du premier nom d’artiste de son rival. « Le rappeur n’a pas tout le temps porté le nom de Booba. Tic Tac était son premier surnom. C’est pour rendre hommage à un de ses cousins sénégalais Boubacar qu’il a pris le surnom de Booba. » peut-on lire. Puis, Maes a accompagné sa story d’une légende dans laquelle il a écrit : « Tictac, la plus grande supercherie du rap français ».
Maes s’en prend une nouvelle fois à Booba
Le rappeur originaire du 93 charge encore et toujours son rival. Sur son compte Instagram, Maes a décidé d’adresser un message à Booba. « Tu n’as rien d’Africain, tu as été éduqué par Lucie Borsenberger Kelanight… Tu n’es pas le bienvenu chez nous ! Souffre en silence sal vieux influenceur », peut-on lire sur le réseau social. À travers ces quelques mots, l’auteur de LDS estime que son ennemi ne devrait pas faire des concerts au Maroc ou en Algérie.
