Maes réagit aux accusations de triche de la part de Booba
Un peu plus d’une semaine après la sortie de son nouvel album, Maes reste très présent sur les réseaux sociaux. Il y a quelques heures, le rappeur originaire de Sevran s’est exprimé sur les accusations de triche de la part de Booba. Gentsu vous explique tout dans l’article ci-dessous.
Le 10 mars dernier, Maes a fait son grand retour avec un nouvel album, intitulé Omerta. Dessus, le rappeur du 93 a invité du beau monde puisqu’on retrouve des collaborations avec : Niska, Gims, Kayna Samet, Morad, Gazo et Koba LaD. Le succès est au rendez-vous puisque lors des premiers jours, il a écoulé plus de 17 000 exemplaires en seulement sept jours. Un très beau démarrage qui donne beaucoup d’espoir pour la suite.
Mais les chiffres font doucement rire Booba. En effet, l’artiste du 92 a même accusé son rival de tricher sur les plateformes de streaming. Des propos qui ont été balayés par Maes : « Et si j’avais voulu tricher grand chauve de Meudon derrière tes faux comptes, j’aurais fait disque d’or au midweek. Aucun soutien de Spotify, aucune playlist. » Le Duc de Boulogne a également décidé de répondre, comme vous pouvez le voir ci-dessous.
Maes parle de Booba sur Skyrock
Pour la promotion de son nouvel opus, Maes était à l’honneur sur Skyrock dans l’émission Planète Rap. À cette occasion, Fred Musa en a profité pour lui demander où en était la relation avec Booba. « C’est un peu un gosse de riche. Quand il n’a pas ce qu’il veut ou quand il voit… Bizarre le man. Non, je n’ai plus de contact. Quand tu es toi-même coc.u, tu cherches quelque chose tu vois. Tranquille, ce n’est pas grave, force à lui. Il a dit que j’ai trompé ma femme alors que lui sa femme l’a vraiment trompé. » a confié l’artiste de Sevran.
Et lorsque Fred Musa a demandé si une éventuelle réconciliation était envisageable, Maes a été formel : « Non jamais parce qu’on ne m’a pas laissé faire mon deuil tranquille. Ça veut dire en vrai c’est m*rt. Même quand mon proche il part, le lendemain il y a encore des piques. C’est un malade, il veut quoi ? Ça ne passe plus, la route est longue (…) Le man est vieux, je crois qu’il n’entend plus les be-tu ».