Le documentaire de Diam’s est numéro 1 au box office, Gims la félicite
Après une très longue absence, Diam’s a fait son retour médiatique avec un documentaire. Diffusé dans quelques salles de cinéma le 1er et le 2 juillet, l’ancienne rappeuse a rencontré un grand succès. Gims a décidé de réagir sur Instagram, on vous explique tout dans l’article ci-dessous.
Diam’s a conquis le public avec une carrière éclair. Au cours de ces 10 ans dans la musique, l’artiste a publié quatre albums, Premier Mandat en 1999, Brut de femme en 2003, Dans ma bulle en 2006 et S.O.S. en 2009. Elle a laissé de nombreux tubes derrière elle, tels que DJ, La Boulette, Ma France à moi, Marine, ou encore Ma Souffrance.
Mais l’ancienne rappeuse a décidé de mettre fin à tout ça. Pendant de nombreuses années, elle a été absente de tous les médias et des réseaux sociaux. Aujourd’hui, Diam’s a fait son grand retour avec un documentaire sur sa vie, intitulé Salam. Ce film très attendu, a été projeté durant le festival de Cannes, le 26 mai dernier. Avant d’être disponible sur la plateforme BrutX à la rentrée, le long métrage a également été disponible au cinéma le 1er et 2 juillet. Et le succès était au rendez-vous puisqu’il s’est classé à la première place avec plus de 50 000 billets vendus. Gims en a profité pour la féliciter sur son compte Instagram.
Diam’s parle de la célébrité et son mal-être
Pour ce retour, Diam’s a également accordé plusieurs interviews pour différents médias. Elle a notamment accordé un entretien à Audrey Crespo-Mara dans l’émission de TF1, Sept à Huit. Dedans, elle raconte les problèmes qu’elle a rencontré avec la célébrité. « Diam’s a vraiment été une étape dans ma vie, c’est quelque chose qui est là, qui a existé aux yeux de millions de personnes. Je ne suis pas devenue Mélanie, je suis redevenue Mélanie », commence-t-elle.
Puis elle a enchainé : « On se sent alors très mal, parce qu’on touche un rêve du doigt, celui de beaucoup de gens, mais pourtant, on vient dire que ce rêve n’était qu’illusoire (…) Aujourd’hui, je vois la gloire un peu comme l’ivresse : quelque chose d’hyper fort qui me remplissait d’un coup, et ensuite il était très dur de redescendre. Comme un cercle vicieux, parce qu’on en veut toujours plus. J’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais. Je suis comme quelqu’un qui est dans une tempête et qui avance, j’essaie de me battre contre un vent très, très fort qui cherche à m’amener vers la m*rt. ». On se rend compte qu’aujourd’hui, elle a trouvé enfin la paix.