Landy prend la parole suite aux accusations de cambriolage dans la maison d’Inoxtag
Au mois de novembre dernier, Inoxtag a annoncé avoir été victime d’un cambriolage. Et depuis quelques jours, une information circulait selon laquelle Landy était impliqué. Une fois relâché, le rappeur a pris la parole, Gentsu vous dévoile tout.
Les faits s’étaient déroulés le 6 novembre 2024 à Poissy. Inoxtag n’était pas à son domicile au moment des faits, car il avait loué les lieux à l’un de ses amis. « Ils ont enfoncé la fenêtre au pied de biche, après avoir tout regardé ce matin au calme, ils ont rien pris (sic) d’important, je sais pas ce qu’ils cherchaient exactement », avait tweeté l’influenceur, disant aller « bien » malgré ce deuxième cambriolage en six mois.
Le Parisien et RTL précisent que des cartes Pokémon avaient été volées. Au moment des faits, BFMTV rapportait que du matériel informatique avait également été dérobé pour un préjudice d’environ 10 000 euros.
Landy prend la parole après avoir été relâché par la Police
Dans le cadre d’une enquête, qui a été ouverte, la brigade de répression du banditisme de Versailles a procédé aux deux interpellations ce mardi 18 mars, dont celle de Landy. Le rappeur de 29 ans est connu de la police pour vi*lence et trafic de st*péfiants. Connu dans le paysage du rap français, le jeune homme a collaboré avec de nombreux grands noms du rap, comme Gazo, Fianso, Kaaris ou encore Jul.
Mais ce mercredi 19 mars, dans un communiqué officiel, Landy et son avocat Me Aïley Alagapin-Graillot ont dénoncé les accusations relayées par certains médias, qui auraient laissé entendre que le rappeur était impliqué dans ce cambriolage. Ils ont « condamné, avec la plus grande fermeté, les propos tenus par certains médias, tendant à donner l’image de M. Sylla comme auteur des faits », ce qui constitue selon eux « une atteinte au principe cardinal de présomption d’innocence ».
Le communiqué met également en lumière les commentaires haineux et racistes ayant circulé sur les réseaux sociaux à l’encontre du rappeur, ainsi que dans certaines sections de commentaires d’articles de presse. « Ces propos ne font qu’alimenter la stigmatisation et la haine raciale […] et portent atteinte à la dignité de notre client », précise le communiqué publié sur les réseaux sociaux de l’artiste.
Le message est passé !