Koba LaD et Zola arrêtés : ils ont échappé au pire au Mexique
À l’occasion de la sortie de leur projet commun, Koba LaD et Zola sont passés dans les locaux de Skyrock. Lors de leur Planète Rap, le duo a partagé une anecdote liée à leur séjour au Mexique face à Fred Musa. Gentsu vous propose d’en savoir plus.
Après avoir été en beef durant plusieurs années, Koba LaD et Zola ont surpris tout le monde en annonçant leur réconciliation qu’ils ont scellé avec un projet commun. L’interprète d’Amber a révélé les dessous de cette nouvelle amitié. Tout serait parti d’un message envoyé par son confrère lors de la m*rt tragique de sa mère comme il l’a raconté lors de leur entrevue avec Mehdi Maizi :
Je me suis dit : « Qu’est-ce qu’il me veut lui ? C’est pas l’moment » Je reçois un gros pavé comme personne m’a écrit. J’ai pas répondu j’ai liké et il a encore envoyé un message, encore et encore et encore. Ça m’a touché, après ça on a pu s’asseoir autour d’une table et discuter. Il a fait un truc de bonhomme de ouf.
Frères Ennemis est donc disponible depuis ce vendredi 26 janvier 2024 et rencontre déjà un franc succès.
Koba LaD et Zola arrêtés : ils ont échappé au pire au Mexique
Koba LaD et Zola multiplient les entrevues pour la promotion de Frères Ennemis. Ils sont ainsi passés sur Planète Rap. Lors de l’une des émissions, Koba LaD a raconté la fois où ils ont été arrêtés au Mexique :
On sort de l’hôtel, on veut aller à l’épicerie. Lui il a tous ses bijoux qui brillent, moi j’ai une montre en or laisse tomber. C’était là au Mexique vers Cancun. Laisse tomber, on voulait aller à l’épicerie tard le soir. L’hôtel il est au bout d’une allée. Déjà l’allée elle est bresom. Ça veut dire qu’avec Binks et Noski, on marche. Je sais plus quelle histoire de c*n je leur racontais.
Koba LaD poursuit :
Ça sent la frappe. Les flics passent devant nous une fois, ils nous voient dans l’allée. Ils font demi-tour ils nous foncent dessus. Je me dis ‘dinguerie’. Ça essaye de cacher tous les bails, ça fait des techniques de ouf gros. Ils disent mariju*na. Je dis ‘no mariju*na’ (…) elle sent ma main.
De son côté, Zola a dû payer une grosse somme pour s’arranger avec les agents des forces de l’ordre :
Je suis parti sans mon pognon. Je sortais de la banque. Ils sont gangstas gros.
Un sacré souvenir qu’ils ne risquent pas d’oublier de sitôt.