Koba LaD donne son avis sur Jul : « C’est le meilleur »
Depuis sa remise en liberté, Koba LaD fait beaucoup parler de lui dans les médias et sur les réseaux sociaux. Lors de sa dernière interview, le rappeur a donné son avis sur Jul, et n’a pas manqué de le complimenter. Gentsu vous dévoile tout dans l’article ci-dessous.
Il y a quelques jours, Koba LaD a accordé une interview pour Clique. Au cours de cet entretien, le jeune homme est revenu sur l’admiration qu’il portait à Jul. L’auteur de L’affranchi met notamment en évidence la ressemblance dans leur manière de faire en studio lorsqu’il s’agit d’enregistrer un titre :
Jul c’est le meilleur, il n’y a rien à dire. Artistiquement parlant, même dans son comportement, il n’y a rien à dire. Ce qui me touche dans ses textes, c’est sa sincérité. Il est comme moi, c’est spontané. Ce n’est pas le genre de mec qui va faire un son et dans deux, trois jours, il va revenir sur le son pour le modifier. Quand c’est posé, c’est posé et basta. Et ça, tu le sens directement.
Une façon de faire de la musique à laquelle Koba LaD s’identifie beaucoup :
Moi, je n’écris pas. Dès que j’ai un truc dans la tête, je le sors dans la cabine et dès que c’est posé, c’est posé. Le son, on n’y touche plus. Je le touche qu’au mixage mais après, on ne change plus rien. Faut être sûr de soi.
Pour rappel, les deux hommes sont assez proches puisqu’ils ont déjà collaboré sur la mixtape de Koba LaD, Cartel : volume 1 & 2, disponible depuis 2021 sur toutes les plateformes. Le morceau entre les deux artistes s’intitule “TCPLT”.
Koba LaD donne les noms d’artistes qui l’ont soutenu
Au cours de cet échange avec Mouloud Achour, Koba LaD est notamment revenu sur sa période de détention. Interrogé sur la solidarité entre artistes quand il était enfermé, le rappeur explique que plusieurs artistes l’ont aidé financièrement durant cette période. Un très beau message qui montre qu’il y a de la solidarité dans le paysage du rap français :
SDM, Franglish, Gazo, Gradur. Des vaillants de ouf. Je ne demandais rien et ils m’envoyaient. Il y a des gens droits encore, faut le dire !.