Kaaris revient sur la disparition de sa mère : « on ne s’en remet jamais »
Lors de son passage dans LEGEND, Kaaris a pu faire la promotion de son nouveau film 4 zéros. Mais le rappeur a également pu se livrer en toute franchise sur le deuil toujours aussi douloureux de sa mère un an après sa m*rt. Gentsu vous en dit plus.
Cela fait maintenant plusieurs années que Kaaris a goûté au cinéma. Et s’il a toujours eu des rôles un peu sombres, le Sevranais a pu s’essayer à un autre registre dans 4 Zéros. Dans celui-ci, il incarne un agent de footballeurs. De passage dans C à vous, il en a dit davantage sur cette expérience :
Je l’avais vu à l’époque 3 zéros et ça m’avait marqué, j’avais kiffé. C’est la première fois que je joue la comédie, d’habitude je joue le méchant. Quand il m’a appelé, au départ, je me suis dis comment je vais faire. Finalement je me suis prêté au jeu et je me suis rapproché le plus de ce qu’il voulait. Mon personnage, c’est un type sans foi ni loi et ce n’est vraiment pas moi.
Kaaris revient sur la disparition de sa mère : « on ne s’en remet jamais »
Toujours en pleine promotion, Kaaris est passé dans LEGEND. Il a alors pu évoquer ses débuts difficiles dans le rap ou encore ses enfants et sa nouvelle compagne et bien entendu le film où il est à l’affiche. Guillaume Pley lui a notamment demandé comment il se sentait un an après la disparition de sa mère. Le rappeur a alors confié :
Avant, quand tu perdais quelqu’un de proche, à part le cimetière tu n’as pas de liens. Maintenant tu as le téléphone. J’ai une centaine de messages vocaux de ma mère que je ne peux pas écouter. Ca fait un an. Je ne peux pas les écouter. Mais j’ai les messages vocaux parce qu’elle m’envoyait des messages et des prières tous les matins. En fait, je ne peux pas écouter sa voix. J’ai encore ses messages c’est dur frère (…) Je ne peux pas entendre sa voix, c’est le plus chaud je crois.
Celui qui a défendu Kylian Mbappé a conclu :
C’est une mère, on ne s’en remet jamais. Ma mère c’était tout pour moi (…) Je pense qu’elle me protège. Elle est fière de ses enfants. Elle était surprotectrice, c’était une maman louve.
Des confidences bouleversantes.