« Je suis à deux doigts de quitter ce pays » : Kery James met en avant les problèmes de la société française
Il y a quelques jours, Kery James a sorti un clip qui n’est pas passé inaperçu. Et pour cause, le rappeur met avant les problèmes de la société. Gentsu vous dévoile tout.
Au mois de décembre, Kery James a dévoilé son nouveau clip, intitulé Comment ça va. Mais malheureusement, le rappeur n’a pas pu mettre la vidéo sur Youtube, pour des raisons indépendantes de sa volonté. Pour cela, il a décidé de le mettre exclusivement sur Instagram. Puis, il a rajouté ce message :
Pour des raisons indépendantes de ma volonté, je ne pourrai pas mettre le clip de #CommentÇaVa en ligne sur ma chaîne YouTube. Je vous le mets donc ici dans sa totalité sur mes réseaux. Comme je vous le disais dans un précédent post, quand je suis parti en Palestine, aucun Palestinien ne m’a demandé d’argent. Ce qui comptait pour eux, c’est que je puisse utiliser ma voix et la tribune qui m’est offerte en tant qu’artiste et personnage public pour que l’injustice qu’ils subissent ne soit pas niée et qu’ils ne soient pas relégués aux oubliettes de l’histoire. Je l’ai fait, au péril de ma carrière. Faîtes-le à votre tour et partagez, qu’on ne soit plus des millions à se sentir seuls.
Kery James dévoile un nouveau clip qui parle de la société
On le sait, Kery James est connu pour son engagement et son implication dans la vie des minorités en France et dans le monde. Il y a quelques jours, l’artiste a fait son retour avec un nouveau titre, intitulé Je ne plaisante pas. Dedans, il met en avant les problèmes de la société française et les polémiques essuyées par le gouvernement ces dernières années. En effet il s’attaque à toutes les grosses actualités qui ont fait polémique en France : le dé.cès du jeune Nahel, l’augmentation de l’âge de la retraite, la précarité des étudiants…
« Pour un refus d’obtempérer, tu te fais merfu par un fumier », « les étudiants n’ont pas de quoi bouffer, des lycées sans chauffage tu te demandes où t’es, pénurie d’enseignant mais ce qui les occupe, c’est de mesurer la longueur des jupes ». Pour finir, il annonce un départ : « je suis a deux droit de quitter ce pays, de cistera, hypocrite, jaloux, aigri ».