Heuss L’Enfoire se confie pour la première fois sur son fils
Il y a quelques jours, Heuss L’Enfoire a dévoilé son nouvel album. Le rappeur belge en a profité pour accorder une interview à Mehdi Maizi. Il s’est notamment confié sur son fils pour la première fois, révélant une drôle d’anecdote. Gentsu vous explique tout dans l’article.
Le 30 juin dernier, Heuss L’Enfoire a signé son grand retour avec la sortie de son second album. Afin d’assurer la promotion de Chef d’orchestre, Mehdi Maizi a invité le rappeur originaire de Bruxelles dans son émission Le Code. À cette occasion, l’artiste a expliqué qu’il n’avait pas le temps de s’arrêter sur les critiques notamment à cause de sa vie d’artiste. Le jeune homme originaire du 92 a également confié les avantages que lui apportait sa célébrité :
Je tourne, je suis dans des avions tous les jours, hôtels, VHR. Tous les jours je suis dans le VHR, je suis dans cette vie-là. Je n’ai plus l’habitude de payer carrément. Des fois ça m’est arrivé d’aller au buraliste et on me crie ‘hé Monsieur, l’argent !’. Ah oui c’est vrai il faut payer (…) C’est une dinguerie, ils m’ont trop habitué à aller trop vite. Même en boîte. Je vais en boîte quand j’ai un creux dans le planning. Le patron c’est mon pote, je le connais avant le rap (…) Maintenant je suis un rappeur, je suis une marque on va dire. À la base je venais dans ta boîte de nuit, maintenant que je suis connu tu me régales de ouf.
Heuss L’Enfoire se confie pour la première fois sur son fils
Et pour la première fois, Heuss L’Enfoire s’est confié sur son fils. Il a parlé de l’impact de sa notoriété sur l’éducation de son enfant :
Moi, je suis cool. Il n’est pas encore au collège mon gosse. Il sait qui je suis. C’est relou un peu. Même lui, il me disait : ‘Je vais à l’école, ils ne croient pas que tu es mon père’ Je vais venir le chercher, demain ils vont avoir des mauvais esprits peut-être. Moi je suis paro. Ils vont penser que je suis multimillionnaire, ils vont commencer à le kidnapper ou je ne sais pas quoi, des rançons des trucs. J’ai dit : ‘non, non, non, non, laisse-les ne pas te croire’.
