Hatik se confie sur une altercation avec les forces de l’ordre qui aurait pu lui coûter cher
Hatik est en pleine promotion de sa nouvelle série avec Camille Lou signée Netflix, Anthracite. À cette occasion, le rappeur a accordé une interview à Télé-Loisirs où il a évoqué une injustice vécue avec les forces de l’ordre. Gentsu vous dévoile tout.
C’est en 2020 que le public a véritablement découvert Hatik grâce à son titre Angela mais également sa participation à la série de Franck Gastambide, Anthracite. Depuis, il a continué à jongler entre sa carrière de rappeur et d’acteur.
D’ailleurs, Hatik a fait son retour dans les bacs avec La vie de Tyler ce vendredi 22 mars. L’occasion pour lui d’annoncer le lancement de son association. Mais ce n’est pas tout puisque le jeune homme enchaîne avec la promotion d’Anthracite, disponible le 10 avril prochain sur Netflix. Dans cette série, il incarne Jaro, un jeune délinquant accusé d’être à l’origine d’une sombre affaire.
Deux femmes sont retrouvées mortes à 30 ans d’intervalle avec la même trace d’anthracite sur le visage. Que s’est-il réellement passé ?
La série ANTHRACITE : le mystère de la secte des écrins, avec Hatik, Noémie Schmidt, Camille Lou et Nicolas Godart, le 10 avril. pic.twitter.com/GGpzBkMPSV
— Netflix France (@NetflixFR) March 6, 2024
Hatik se confie sur une altercation avec les forces de l’ordre qui aurait pu lui coûter cher
Tout comme son personnage, Hatik a déjà dû faire face à une injustice. Comme il l’a indiqué à Télé-Loisirs, celui qui a déjà commenté des bavures policières s’est retrouvé dans le pétrin lors d’une arrestation. Ainsi, l’interprète de La meilleure a raconté :
J’ai failli aller en pris*n pour m’être fait casser la gue*le par des flics qui avaient dit que je les avais tapés ! J’ai quand même eu un casier judiciaire alors que ce sont eux qui m’ont frappé. Je vous rassure, de l’eau a coulé sous les ponts depuis. Je n’ai aucune haine contre les systèmes judiciaire et policier.
Cette histoire, Hatik en avait déjà parlé en 2020 au micro de Voici :
Lors d’un contrôle beaucoup trop musclé, j’ai signifié aux personnes présentes qu’il fallait contrôler les gens avec un peu plus de douceur et je me suis littéralement fait casser la gue*le. Ils m’ont emmené au commissariat où ils ont continué. Quand je suis passé devant une juge en comparution immédiate après 48h de garde à vue pour outrage, rébellion et vi*lence, on m’a indiqué que j’allais prendre 70h de TIG alors que la juge avait constaté mes bleus et engueulé les policiers au sein du tribunal. Eux n’ont rien eu. Comment croire à la justice après ça ?
Un sacré souvenir.