Dadju perd son procès contre le Wati B : le montant de sa condamnation dévoilée
Quelques années après avoir quitté le Wati B pour Polydor, Dadju s’est retrouvé face à la justice face à son ancien label. D’ailleurs, il a été condamné mais s’en est mieux sorti que prévu. Gentsu vous propose d’en savoir plus.
C’est en 2012 que Dadju signe chez Wati B comme son frère Gims. Il commence alors en duo avec Abou Tall avec qui il formait The Shin Sekaï. Le groupe se sépare quatre ans plus tard. Puis, celui qui a pris la défense d’Aya Nakamura s’est lancé en solo et a rapidement sorti son album Gentleman 2.0.
A l’époque, l’acolyte de Tayc a expliqué pourquoi il s’était séparé de son label au micro de Rap R’n’B et a déclaré :
J’ai toujours voulu être quelqu’un qui gère ses décisions. Je suis quelqu’un qui travaille beaucoup au feeling : j’aime bien me réveiller le matin en me disant ‘J’ai envie de faire ça, j’ai envie de faire ça’… Le problème que j’avais avec le Wati B, c’est un problème d’identification. Dans le Wati B, il y a tellement de grosses stars, de grosses têtes, de gros succès que si tu restes là, c’est comme quand tu restes là, c’est comme au Real Madrid et qu’il y a Cristiano Ronaldo. (…) J’ai vraiment voulu faire mon truc à moi, de mon côté.
Dadju perd son procès contre le Wati-B : le montant de sa condamnation dévoilée
En février dernier, Dadju sortait son projet commun avec Tayc baptisé Héritage. Les deux hommes sont partis en tournée et ont enchainé une série de concerts pour défendre leur album. D’ailleurs, lors d’une performance, l’interprète de Reine a fait une annonce et pas des moindres puisqu’il a fait comprendre qu’il allait bientôt tout arrêter. Mais les deux amis ont prévu de sortir un deuxième opus en commun. De quoi laisser comprendre qu’il allait surtout mettre sa carrière solo de côté.
Il y a quelques jours de cela, le procès opposant Dadju au Wati B a vu le jour. Lors de celui-ci, le label l’a accusé d’avoir vi*lé ses obligations contractuelles et son obligation de loyauté envers lui comme l’a indiqué le média L’informé. Le Wati B réclamait 1,1 million d’euros de préjudice. Finalement, le père de famille a été condamné à payer « seulement » 10 000 euros. Cela aurait pu être pire !