DA Uzi : « Je ne veux pas que mes enfants grandissent là où j’ai grandi »
Lors de sa dernière interview pour Le Code, DA Uzi s’est confié sur la musique mais aussi sur ses souhaits concernant sa vie privée. Des confidences très rares de la part du rappeur originaire du 93, on vous explique tout dans l’article ci-dessous.
Le 23 juillet dernier, DA Uzi nous présentait son nouvel album, intitulé Vrai 2 Vrai. Composé de 17 morceaux, l’opus comporte de très belles collaborations. En effet, on retrouve : Nekfeu, MHD, Heuss l’Enfoire, Soso Maness et ZKR en featuring dessus. A ce jour, le projet compte un peu plus de 20 000 exemplaires vendus.
DA Uzi se confie comme rarement dans « Le Code »
Si l’artiste n’a pas encore eu les opportunités pour le promouvoir, il compte profiter de la rentrée pour en parler. Dernièrement, on peut le retrouver au micro de Mehdi Maïzi dans l’émission Le Code. Au cours de cet entretien, le rappeur originaire du 93 s’est confié sur son lien avec la rue. Il confie notamment son souhait de vouloir quitter cet environnement : « On est là, on est fiers d’où on vient. Mais frérot, on veut s’en aller. Moi, personnellement, je ne veux pas que mes enfants grandissent là où j’ai grandi. »
Puis, DA Uzi a continué en se confiant sur la particularité d’interpréter ses morceaux. « Je vis mon truc. Mais franchement, ça je ne saurais pas te l’expliquer. J’essaye de faire à ma manière, tu vois ? C’est comme ça que je ressens le truc. Et c’est comme ça que j’ai envie de le transmettre. C’est ma façon de m’exprimer, tu vois ? C’est ma façon de faire passer l’émotion, j’ai la haine. », a-t-il déclaré.
Le rappeur a ensuite poursuivi, en s’exprimant sur les différents styles de titre qu’il fait. Les fans préfèrent ses morceaux sombres plutôt que festifs : « Les gens n’ont pas envie que je sourie. Mais après, moi je ne vais pas te mentir, les morceaux des fois que je préfère. Moi j’aime bien ces morceaux-là. Parce que je sais qu’on ne m’attend pas dans ça. Et je sais que les gens me préfèrent. C’est ma marque de fabrique. Parce que c’est là que je me fais mieux comprendre. La tristesse, j’arrive bien à la développer. Je n’ai pas l’habitude d’être content. Ça veut dire que je ne sais pas bien le développer. La tristesse je sais bien en parler. »