Aqababe sorti de garde à vue : il réagit aux rumeurs sur Maes
Le début de semaine a commencé très fort pour Aqababe et sa communauté. Après avoir annoncé qu’il ne comptait pas lâcher Maes, le blogueur s’est avéré être en roue libre. Les choses sont allées loin puisqu’il s’est retrouvé en garde à vue. A sa sortie, il a livré sa version des faits. Explications.
Il y a quelques années de cela, Maes s’en est pris physiquement à Aqababe après un article à son sujet. Seulement voilà, les images ont fuité sur la Toile en octobre dernier et ont choqué de nombreux internautes. En début de semaine, le jeune homme a pris la parole en assurant qu’il allait balancer de gros dossiers sur le sevranais.
« La zone est quadrillée, ne vous inquiétez pas. AQABABE est très bien entouré désormais. C’est le jeu, t’es connu j’ai du scoop et bien let’s go #LaRueLaVraie. On va se croiser pour de vrai. A très vite… @maes_packm. Magnifique attends moi bien, Paris c’est petit (…) J’parle peu @maes_packm allo t’es où ? Hihihihi. J’fais pas le bonhomme derrière mon telephone toi même tu sais on va se voir et ça va PETEEEEEER j’fais 50 kg moi » a lancé Aqababe. Ce à quoi, Maes a répondu : « J’ai trop hâte, on arrive à tout avec de la patience. Tout vient à point à qui sait attendre. A très vite où tu sais. Viens avec toute la terre même. J’parle plus sur Insta ».
Aqababe sorti de garde à vue : il réagit aux rumeurs sur Maes
Quelques heures après cet échange, Aqababe a finalement dévoilé la tracklist du prochain album de Maes. Mais ce n’est pas tout puisqu’il s’est affiché en direct de Sevran et semblait être à la recherche du père de famille. Mais coup de théâtre, son équipe a annoncé qu’il avait été placé en garde à vue. De là, plusieurs rumeurs ont circulé sur les réseaux sociaux.
Ce mardi 7 février, aux alentours de 21 heures, Aqababe a repris possession de ses réseaux sociaux et a confirmé qu’il avait été placé en GAV. Au vu des bruits de couloir, l’influenceur a tenu à fa ire une mise au point. « Je suis libre parce que dans la voiture où j’étais, il n’y avait absolument rien. Je n’avais pas d’arm*s, je ne possédais pas d’arm*s sur moi. Par contre les autres voitures oui. Je ne suis pas un mec du ghetto (…) Il y a des choses qu’il ne faut pas faire », a-t-il commencé.
Avant de poursuivre : « Il y a des choses qu’il faut payer, la justice française ne fait rien pour moi (…) il y avait quatre voitures. Il y en avait trois qui avaient des vraies arm*s. C’était une sorte de convoi. Dans la première voiture, il n’y avait absolument rien (…) Les policiers ont dit que j’avais une a*me, que j’en avais touché une (…) Je suis fatigué de cette histoire parce que normalement c’est pas moi qui devrait sortir de garde à vue à 21 heures ». Aqababe a également promis d’en parler davantage sur son compte Snapchat une fois remis de tout cela.