Poupette brise le silence sur son fils et nie les rumeurs de maltraitance
Ces dernières semaines ont été plutôt éprouvantes pour Poupette Kenza. Juste après avoir lutté pour récupérer son compte Snapchat, l’influenceuse s’est retrouvée dans la tourmente. Et pour cause, elle a été accusée de maltraitance envers son fils. Dans une vidéo YouTube, la jeune maman a enfin livré sa version des faits.
Il y a quelques jours de cela, Poupette Kenza s’est affichée en pleurs sur Snapchat. Et pour cause, son fils de neuf mois a été admis à l’hôpital après que sa tête ait triplé de volume. Résultat ? Le petit garçon souffre d’un hématome sous-dural. « Je pars à l’hôpital tout de suite. J’étais en train de laver Khalis, je trouve que sa tête a triplé de volume depuis ce matin. Je dis à Allan ‘tu trouves pas que sa tête a grossi ?’, il me dit ‘non c’est un mec c’est normal’. Et là je lui fais son shampoing, son crâne est tout mou. Il y a comme de l’eau ici les filles », a-t-elle confié à sa communauté
Peu de temps après cette année, des rumeurs affirmaient que celle qui a été taclée par Booba a été placée en garde à vue. Pire encore, elle a été visée par une enquête pour maltraitance envers son bébé. Dans la tourmente, Poupette Kenza s’était exprimée sur le plateau de Touche pas à mon poste.
Poupette brise le silence concernant la polémique sur son fils et nie les rumeurs de maltraitance
Fort heureusement, le fils de Poupette Kenza va mieux. Même si Khalis a temporairement retiré de ses parents dans le cadre de la procédure, l’influenceuse commence à sortir la tête hors de l’eau. « Bonsoir mes poupettes .. Après + de 2 semaines de silence, des semaines à me faire calomnier, humilier, rabaisser, intimider, et même harceler. Je pense qu’il est temps de vous dire la vérité des faits qui se sont déroulés.. Quand vous l’avez fini. Je vous attends. C’était beaucoup trop long pour une story Snapchat », a-t-elle annoncé dans sa story Instagram.
Sur YouTube, Poupette Kenza a finalement pu donner sa version des faits et a reproché au personnel hospitalier d’avoir partagé le dossier médical de son enfant. Elle en a profité pour révéler qu’elle allait s’engager dans la lutte contre la malveillance qu’elle subit sur les réseaux sociaux. En larmes, elle est revenue sur le moment où elle était avec l’assistance sociale quand elle est venue récupérer son fils.
« C’est un traumatisme pour moi. Déjà vous êtes en train de suspecter un truc que potentiellement j’aurais fait à mon enfant alors que c’est totalement déconnecté de la réalité. (…) Donc l’assistante sociale qui vient récupérer Khalis avec les forces de l’ordre. Elle me sort un papier qui s’appelle une OPP, une opération de placement provisoire. ‘Voilà Madame on va placer votre fils’. J’ai dit ‘quoi quoi, madame non’. Je n’oublierai jamais cette scène », a-t-elle confié en larmes. Espérons que tout cela ne soit qu’un mauvais souvenir dans quelque temps.