Milla Jasmine épinglée par la répression des fraudes pour pratiques trompeuses

Le 08 Nov 2024 à 16:18 par Sikagz

La lutte contre les influenceurs et leurs pratiques trompeuses est loin d’être finie. Cette fois-ci, c’est Milla Jasmine qui a été rappelée à l’ordre par la DGCCRF. Gentsu vous en dit plus.

Il y a presque trois ans, Booba se lançait dans une croisade contre les influenceurs et leurs placements de produits frauduleux. Plusieurs candidats de téléréalité en ont pris pour leur grade. En particulier ceux qui travaillaient avec Magali Berdah contre qui il avait de nombreuses preuves.

Et si la justice s’en est mêlée en régularisant ces publicités, plusieurs candidats de téléréalité ont quitté le navire comme Maeva Ghennam ou encore Milla Jasmine qui ne travaillent plus avec elle. Celle qui vient tout juste d’accoucher de son deuxième enfant avait elle aussi mené la PDG de Shaunaevents en justice pour des salaires non versés.

Milla Jasmine épinglée par la répression des fraudes pour pratiques trompeuses

Mais aujourd’hui, c’est pour son contenu que Milla Jasmine a été pointée du doigt. Après avoir participé à plusieurs programmes de téléréalité, la jeune femme s’est tournée vers le monde de l’influence. Ainsi, elle a souvent partagé des publicités pour différentes marques.

Milla Jasmine épinglée par la répression des fraudes pour pratiques trompeuses Milla Jasmine épinglée par la répression des fraudes pour pratiques trompeuses

Cela dit, comme un bon nombre de ses confrères, toutes ses campagnes n’étaient pas toujours réglementées. C’est pour cette raison que la DGCCRF a décidé de la rappeler à l’ordre car elle n’indiquait pas le caractère publicitaire sur ses différentes publications et stories. Dans une injection publiée ce jeudi 7 novembre, l’organisme public a déclaré :

L’absence de cette indication peut laisser croire au consommateur que la recommandation est faite sous l’angle de l’expérience personnelle plutôt que celui d’une publicité rémunérée et ainsi le tromper.

Ce n’est pas la seule influenceuse à avoir été sanctionnée de cette façon. Cela a notamment été le cas de Capucine Anav, Simon Castaldi, Julien Bert ou encore Illan Castronovo. L’injonction prise par la DGCCRF ne comprend pas d’amende mais une demande ordonnant de « cesser ces pratiques« . En revanche, la brune pulpeuse continuait à publier des stories sans indiquer la mention « collaboration commerciale », selon les constatations de Tech&Co, quelques heures après cette mention et ne s’est pas exprimée à ce sujet.

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