Magali Berdah jugée pour blanchiment et banqueroute : elle réagit aux 18 mois de peine requis
Ce lundi 30 septembre, le tribunal de Nice a ouvert le procès de Magali Berdah ainsi que de trois autres prévenus dans le cadre d’une affaire de banqueroute et blanchiment avec son ancienne entreprise. Le parquet a requis jusqu’à 18 mois de pris*n. Face à cette annonce, la concernée a pris la parole sur ses réseaux sociaux. Gentsu vous en dit plus.
Lors de sa croise contre les influenceurs et leurs placements de produits frauduleux, Booba a causé beaucoup de dégâts. En effet, le rappeur a réussi à faire en sorte que le gouvernement s’en mêle. Ainsi, de nombreux candidats ont vu leur train de vie changer. Magali Berdah a également été impactée. D’ailleurs, elle avait mené le DUC en justice pour cyberharcèlement au vu de la vague de haine reçue par les internautes et les différents tacles de l’artiste.
Mais Magali Berdah n’en a pas fini avec la justice. En décembre dernier, elle devait être jugée pour une affaire de blanchiment d’argent. L’audience a finalement été reportée et le jugement a commencé en début de semaine.
Magali Berdah jugée pour blanchiment et banqueroute : elle réagit aux 18 mois de peine requis
Pour rappel, Magali Berdah est accusée d’avoir orchestré la banqueroute de manière délibérée de la société BA&CO, un cabinet de courtage en assurances qu’elle avait repris en 2014 avec sa mère et une amie d’enfance. Le parquet a souligné la gravité des faits et a requis une peine de 18 mois de pris*n dont six mois fermes sous bracelet électronique ainsi qu’une interdiction définitive de gérer toute entreprise a également été demandée.
L’ancienne amie de Maeva Ghennam a tenté de se défendre en affirmant n’avoir été qu’une simple employée chargée du développement commercial. Il y a quelques heures de cela, la femme d’affaires a insisté pour rappeler qu’elle n’était pas condamnée et a ajouté via ses réseaux sociaux :
Le procureur a apporté des éléments, nous avons apporté d’autres éléments avec mes avocats. Je me suis défendue, je me suis battue, on a apporté des éléments de preuve, on a apporté des arguments. Voilà pour cette affaire qui date d’il y a dix ans, qui relève des assurances et qui n’est absolument pas liée au monde de l’influence. C’est très important pour moi de le préciser. La Cour et le Président rendront leur décision le 25 novembre (…) J’ai totalement confiance en la justice.
La réponse dans deux mois donc.