Kelly Vedovelli menée en justice par Laeticia Hallyday après avoir taclé sa fille Joy

Le 21 Fév 2023 à 13:13 par Sikagz

Ce lundi 20 février, Laeticia Hallyday a pris une décision radicale. En effet, la veuve de Johnny a annoncé dans un communiqué qu’elle n’avait pas digéré les propos tenus par Kelly Vedovelli sur le plateau de Touche pas à mon poste à l’égard de sa fille. Gentsu vous explique tout.

Nouvelle polémique pour Touche pas à mon poste. Le 30 janvier dernier, l’équipe de chroniqueurs a été invité à évoquer l’actualité et ce qu’il se passait sur les réseaux sociaux. Ainsi, Baba a lancé le sujet autour des poses de Joy Hallyday sur ses réseaux sociaux qui sont parfois jugées trop « hot » pour une adolescente de quatorze ans.

Kelly Vedovelli avait alors été plutôt virulente au sujet de la soeur de Jade puisqu’elle avait lancé : « Pour moi, c’est le summum de la vulgarité ». Cyril Hanouna lui avait rappelé qu’elle n’avait que quatorze ans. La chroniqueuse avait anticipé les critiques et a lancé : « Alors on va dire, ‘oui mais Kelly, ceci, Kelly, cela’, Kelly elle a 32 ans, la petite elle a 14 ans. Moi à 14 ans, allez chercher des photos de moi comme ça à 14, il n’y en a pas. Donc pour moi, c’est hyper vulgaire avec sa langue, sa bouche, sa poitrine. Je trouve ça d’une extrême vi*lence physique et psychologique, ça ne va pas du tout ». Ce lundi 20 février, Me Gilles Gauer, l’avocat de Joy Hallyday, a pris la parole par le biais d’un communiqué.

Kelly Vedovelli menée en justice par Laetitia Hallyday après avoir taclé sa fille

Laeticia Hallyday ne va pas laisser ces paroles impunis. En effet, le juriste a annoncé qu’une « plainte avec constitution de partie civile pour injures publiques » a été adressée au Doyen des Juges d’instruction du Tribunal judiciaire de Paris. De plus, un « signalement au Président de l’ARCOM a été réalisé des chefs de l’obligation de respect des droits de la personne et de violation de l’obligation de maîtrise de l’antenne ». « Le comportement de Joy Hallyday était ainsi assimilé à celui d’une « t*pu », le verlan de « p*te ». De tels propos outrepassent les limites admissibles de la liberté d’expression dès lors que leur v*ctime est une adolescente âgée de 14 ans », a-t-il été ajouté.