« J’étais un pauvre type » : Guillaume Genton honnête sur ses problèmes financiers
Ce mercredi 24 janvier, Guillaume Genton a joué la carte de la franchise sur le plateau de Touche pas à mon poste. Ainsi, le chroniqueur de Cyril Hanouna a évoqué ses anciennes dépenses excessives qui ont provoqué de gros problèmes financiers. Gentsu vous en dit plus.
Guillaume Genton en a fait du chemin depuis ses débuts dans Touche pas à mon poste. Présent depuis 2017, celui qui a porté plainte contre Aqababe est l’une des recrues emblématiques de l’émission. Mais à côté de son rôle de chroniqueur, il a également sa propre société, Genton Productions. Grâce à celle-ci, le jeune homme a notamment eu l’occasion de devenir très riche et ne s’en cache pas.
Toujours aussi honnête, Guillaume Genton est revenu sur ses problèmes financiers survenus ces dernières années à cause de ses dépenses astronomiques. Ce mercredi 24 janvier, le natif de Berlin a d’abord lancé :
Avant, j’étais un ignoble charo et, maintenant, cela fait deux ans que je suis avec ma copine, nous avons une relation très forte (…) J’ai dépensé énormément d’argent durant une période : j’avais trois voitures, deux chauffeurs, trois appartements, j’avais une vie totalement dissolue, plein de relations en même temps… J’étais dans une spirale de n’importe quoi.
« J’étais un pauvre type » : Guillaume Genton honnête sur ses problèmes financiers
Guillaume Genton a notamment confié qu’il avait déjà été capable de « dépenser 10.000 euros pour un oui ou pour un non » comme les vêtements de luxe. Le collègue de Kelly Vedovelli a ajouté :
C’est un engrenage qui rend très malheureux. Je suis allé au bout de ça. J’ai eu une série d’événements négatifs dont deux contrôles fiscaux qui m’ont tué professionnellement et personnellement. Plein de choses dans ma vie m’ont remis les pieds sur terre.
L’AVC de sa compagne et la perte de l’un de ses chiens l’ont notamment calmé. Guillaume Genton dépensait à foison même pour des voyages à répétition à New-York et Tokyo. Le producteur de 32 ans a conclu :
Il y avait une part de plaisir et une part d’autodestruction. D’autres le font avec l’alcool ou la dr*gue, moi c’était en dépensant de l’argent jusqu’à ne plus en avoir. Quand je n’ai plus rien eu, je suis reparti vivre dans 30 m² et je suis très heureux (…) Je me suis pris pour un autre, j’étais un pauvre type.
Des erreurs qu’il a finalement su rattraper.