« J’ai perdu des centaines de milliers d’euros » : Squeezie explique pourquoi il a arrêté sa marque de vêtements
Il y a quelques années, Squeezie s’était diversifié en lançant une marque de prêt-à-porter nommée Yoko, avec son frère. Mais le jeune homme a dû cesser cette activité, il vient d’expliquer les raisons de son arrêt. Gentsu vous dévoile tout.
Avec plus de 19 millions d’abonnés sur Youtube, Squeezie est l’un des vidéastes et influenceurs les plus populaires en France. Mais il s’est aussi diversifié ces dernières années : esport, organisation du prix automobile GP Explorer, et lancement de sa marque de prêt-à-porter, Yoko, en 2019. Pendant plusieurs années, ils ont proposé une série de collections axées sur leur amour pour le Japon.
Toutefois, l’aventure, fondée avec son frère, a connu une fin un peu brutale il y a un an : « Après une aventure incroyable menée depuis 2019, nous avons décidé de mettre fin à Yoko », pouvait-on lire sur le site, sans que Squeezie n’en explique les raisons. Mais en ce début d’année, il a décidé de donner plus d’explications.
Squeezie explique pourquoi il a arrêté sa marque
Du 17 au 19 janvier, une vingtaine de streamers ont été invités par Amine pour récolter des fonds pour la bonne cause, lors de son événement Stream for humanity. Pour encourager les utilisateurs à donner, chacun des créateurs a élaboré une liste de « sub goals ». Dans celle de Zack Nani, on y retrouve l’enregistrement de son émission phare, Zack en Roue Libre avec Squeezie pour 10.000 euros dans sa cagnotte. Il atteint très rapidement ce montant, et ensemble, ils réalisent l’interview. Dans cet échange, Squeezie explique pourquoi il a pris la décision de fermer Yoko :
C’était une superbe aventure. Mais on a sous-estimé le travail que ça représente d’avoir une marque (…) C’est compliqué économiquement. C’est un temps de fou, ce sont des batailles avec les usines de production, c’était de la pression.
Il regrette aussi d’avoir choisi ce nom pour la marque :
Avec le recul, il n’est pas dingue ce nom, c’est très générique. C’est ce qui a, en partie, tu.é Yoko. Mais, ce n’est pas une mauvaise chose, car on avait fini l’époque Yoko. Tu te balades dans la rue, il y a un restaurant asiatique sur cinq [qui s’appellent] Yoko, il y a des marques de tasses…
Pour autant, Squeezie n’est pas déçu pas d’avoir tenté l’aventure :
J’ai perdu des centaines de milliers d’euros, mais c’était une super expérience, on a appris énormément de choses.