Après avoir épousé la Tour Eiffel, Erika LaBrie est attirée par une clôture
Son nom ne vous dit peut-être rien mais Erika LaBrie avait fait couler beaucoup d’encre en annonçant qu’elle avait épousé la Tour Eiffel. Mais la cinquantenaire est allée encore plus loin puisque l’objectophile est désormais attirée par une clôture. Gentsu vous raconte tout.
Si certains ont du mal à y croire, l’objectophilie existe vraiment. Physiquement attirée par une clôture, Erika LaBrie a été suivie dans le cadre d’un documentaire de TLC pour s’expliquer sur son attirance envers la clôture rouge. « Je ne m’attendais pas du tout à trouver une clôture comme celle-ci ici. Elle (la clôture) est parfaite, je veux dire que c’est la forme que j’aime tant. Ces angles ? Fabuleux ! Les clôtures sont des objets tellement tentant pour moi parce qu’elles sont si parfaites dans leur géométrie. Je suis définitivement attirée physiquement par cette clôture et j’aimerais mieux la connaître« , a affirmé l’américaine.
Après avoir épousé la Tour Eiffel, Erika LaBrie est attirée par une clôture
Erika LaBrie avait déjà attiré l’attention aux quatre coins du monde après son mariage avec la Tour Eiffel en 2007. Après leur union, elle avait changé de nom pour se faire appeler Erika Eiffel. Mais cette fois-ci, elle ne jure que par la clôture rouge sur laquelle elle s’est assise à califourchon. « Je ne m’attendais pas du tout à trouver une clôture comme celle-ci ici. Je veux dire, c’est la forme que j’aime tant. Ces angles ? Fabuleux » a expliqué la cinquantenaire.
Erika LaBrie a ajouté qu’il n’y avait pas que le physique car elle aime parler et se confier à elle jusqu’à l’appeler « ma douce ». Elle n’est pas la première personne à s’être amourachée d’un objet. Cela a déjà été le cas de l’allemande Sarah Rodo qui s’était livrée sur sa relation avec un avion, un modèle de Boeing 737 qu’elle surnomme Dicki. Un autre homme avait eu quant à lui, une relation intime avec sa voiture. Cela avait fait beaucoup de bruits.
L’objectophilie ou objetsexualité est le terme employé pour l’orientation sexuelle ou sentimentale d’une personne envers un ou plusieurs objets inanimés. Selon plusieurs enquêtes, la moitié des personnes objectophiles présentent des troubles du spectre de l’autisme.
En tout cas, l’histoire d’Erika Labrie n’est pas passée inaperçue sur les réseaux sociaux.