« Je le détestais, je le trouvais hautain » : Djibril Cissé balance sur Zlatan Ibrahimovic

Le 20 Déc 2024 à 12:40 par Sikagz

Cela fait maintenant un an que Zlatan Ibrahimovic a pris sa retraite. Mais avant cela, il s’est retrouvé face à plusieurs sportifs francophones dont Djibril Cissé qui a eu du mal à le supporter durant sa carrière sur le terrain. Découvrez comment il a changé d’avis.

Après une carrière mémorable, Zlatan Ibrahimovic a tiré sa révérence l’année dernière. Un moment émouvant pour le sportif comme pour ses supporters. Et si certains de ses confrères se sont reconvertis en tant qu’entraîneur, le Suédois n’est pas vraiment emballé par cette option pour le moment et a expliqué pourquoi :

Je ne me vois pas d’avenir à ce poste. Il faut couvrir tellement de domaines, trouver des idées et des solutions, préparer et suivre les matchs, coacher. On travaille jour et nuit. Une année en tant qu’entraîneur me paraîtrait dix. C’est trop de travail pour moi, ça ne m’attire pas.

« Je le détestais, je le trouvais hautain » : Djibril Cissé balance sur Zlatan Ibrahimovic

Outre ses performances, Zlatan Ibrahimovic est aussi connu pour son arrogance. D’ailleurs, Djibril Cissé avait vraiment du mal avec lui. D’ailleurs, celui qui a donné de la force à La Fouine n’aimait pas sa manière de parler dans les médias et sur les terrains. Il se souvient très bien de son expérience avec lui comme il l’a raconté au micro de Colinterview :

« Je le détestais, je le trouvais hautain » : Djibril Cissé balance sur Zlatan Ibrahimovic « Je le détestais, je le trouvais hautain » : Djibril Cissé balance sur Zlatan Ibrahimovic

J’ai joué contre Zlatan et je détestais le mec, vraiment. Je le trouvais hautain, je trouvais qu’il parlait mal aux autres joueurs. Je l’ai entendu dire des trucs, j’étais limite obligé d’intervenir pour lui dire de se calmer. Il traitait ses coéquipiers de « joueurs de mer** » et d’autres trucs comme ça. Je l’avais dit dans la presse à l’époque. C’est un grand joueur, mais qu’il respecte les gens.

Puis finalement, Djibril Cissé a pu changer d’avis par la suite. Il poursuit :

Puis mon fils jouait à Liverpool, et son fils jouait à Manchester. Un jour ils se sont affrontés. Un de mes fils l’a reconnu, et Zlatan s’est levé en disant : « Oh Djibril, comment ça va ? ». Il m’a parlé comme si on se connaissait. On a parlé de l’Italie, de Paris, et c’est là que j’ai compris qu’il joue un personnage, parce que c’est un crème dans la vraie vie. Avec sa femme j’ai parlé des Champs Élysées, des boutiques…

S’il avait commencé à le détester, Djibril Cissé a découvert une autre facette de son confrère en dehors des terrains.

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