« Parfois, je veux l’appeler le matin » : Booder fait des révélations déchirantes sur Wahid Bouzidi
Très proche de Wahid Bouzidi, Booder a fait de touchantes révélations sur son ami. Dans une interview accordée à Télé Revue, l’humoriste a confié avoir du mal à se remettre de sa disparition. Gentsu vous raconte tout.
Alors qu’il était en séjour à Marrakech, Wahid Bouzidi a été v*ctime d’un AVC qui l’a plongé dans le coma avant de s’éteindre quelques jours plus tard. La nouvelle a retourné ses fans mais aussi de nombreuses célébrités dont il était proche comme Jamel Debbouze ou encore Booder. Depuis, une pluie d’hommages a été relayée sur les réseaux sociaux. Sur Instagram, l’artiste avait déclaré :
À la fois, je suis triste, et à la fois, j’ai envie de rigoler […] Wahid se serait foutu de ma gue*le en me voyant pleurer. Tu me manques énormément. Je ne sais pas quoi dire. J’ai voulu préparer un texte, mais je n’y arrive pas. Dire ton nom, ça me touche et tu me manques. Je sais que tu es au paradis. Garde-moi une place auprès de toi. Salut mon frère, je t’aime ! […] Je suis anéanti, triste, la vie m’a arraché une partie de moi. Mon frère, mon acolyte, mon ami, mon confident… est parti. Wahid, tu me manques ! Nous sommes à Dieu et à lui, nous retournerons. Courage et patience à sa femme et sa famille. Tu aimais vraiment les gens et les gens t’aiment vraiment. Fier d’être et d’avoir été à tes côtés jusqu’à ton dernier souffle. Je t’aime mon frère.
« Parfois, je veux l’appeler le matin » : Booder fait des révélations déchirantes sur Wahid Bouzidi
Plus d’un mois après la disparition de Wahid Bouzidi, Booder a toujours du mal à s’en remettre et pense à lui tous les jours. Dans une interview accordée à Ciné Télé Revue, l’humoriste a confié :
On était à Marrakech tous les deux quand il est tombé dans le coma. On devait se voir. Je suis resté à son chevet jusqu’à ce qu’il nous quitte. On était très proches. C’est encore hyper-difficile d’en parler. Je suis toujours en plein deuil. Parfois, je veux l’appeler le matin, mais il n’est plus là. Ça me fait mal. J’espère qu’il est heureux où il est. Je pense à lui tous les jours.