Le Grinch : pourquoi la CIA a dû intervenir sur le tournage pour sauver Jim Carrey ?
Les fêtes de fin d’année sont l’occasion de ressortir les classiques de noël entre Maman j’ai raté l’avion, La reine des neiges ou encore Le Grinch. Mais saviez vous qu’un membre de la CIA a dû se rendre sur le tournage pour venir en aide à Jim Carrey ? Découvrez pourquoi.
Le Grinch est sorti le 6 décembre 2000. 24 ans plus tard, le film est toujours autant apprécié. Il faut dire que le personnage aux poils verts qui voulait gâcher noel a de quoi être attachant. Après avoir subi la cruauté des habitants de Chouville, le croque-mitaine rêve de gâcher leur fête préférée. Mais un jour, l’adorable Cindy Lou va vouloir comprendre pourquoi le Grinch déteste cette période.
Ce classique de noël n’a pas vraiment été une partie de plaisir pour Jim Carrey. En effet, celui qui est revenu au cinéma à cause de ses problèmes d’argent passait près de huit heures à se faire maquiller lors de la première journée de tournage. Cela a été une telle torture qu’il a failli tout abandonner comme il l’a indiqué dans The Graham Norton Show :
Passer au maquillage, c’était comme se faire enterrer vivant tous les jours. Le premier jour, cela a pris 8 heures et demie. Je suis retourné dans ma caravane et j’ai dit à Ron Howard que je ne pouvais pas faire le film. Grazer est arrivé et a eu la brillante idée d’engager un homme entraîné à apprendre à des agents de la CIA comment supporter la torture », lâche Jim Carrey. « Et c’est comme ça que j’ai réussi à faire le Grinch !
Le Grinch : pourquoi la CIA a dû intervenir sur le tournage pour sauver Jim Carrey ?
Mais comment ce membre de la CIA a réussi à l’entraîner donc ? Jim Carrey qui a connu la vie de sans abri raconte :
Il m’a dit ‘Mange tout ce que tu vois. Si tu commences à paniquer et à partir en vrille, allume la télé, demande à quelqu’un que tu connais de te frapper derrière le crâne, fous-toi des coups de poing dans les jambes ou fume, fume autant que tu peux’. J’étais donc ce Grinch, assis sur le plateau…. ‘Vous avez du feu ?’ Et j’avais un porte-cigarettes géant pour que les poils de yack ne prennent pas feu ! C’était horrible. Mais je me répétais ‘Tu fais ça pour les enfants, c’est pour les enfants, pour les enfants…’
Le résultat final et le succès du film en valaient la peine !