Le film « Carjackers », avec Franck Gastambide, Bosh et Disiz, cartonne sur Amazon Prime
Disponible sur la plateforme Amazon Prime, le film Carjackers, où l’on retrouve Franck Gastambide, Disiz ou encore Bosh, cartonne. Gentsu vous dévoile tout.
Amazon Prime vient de dévoiler le film Carjackers sur sa plateforme. Ce long métrage d’action met en scène un groupe d’employés (voiturière, hôtesse, barman…) d’un palace profitant de la clientèle fortunée qu’ils côtoient pour les étudier… et les dévaliser sur la route. Voici le synopsis :
Nora, Zoé, Steve et Prestance ont la vingtaine, ils sont voituriers, hôtesses, bagagistes et barmen dans des palaces. Ils y servent une clientèle fortunée qu’ils étudient en secret pour mieux les dévaliser sur la route. Ce sont les “Carjackers” : pilotes virtuoses, ils braquent à la pause-déjeuner en une heure top chrono pour ne pas être suspectés. Plus qu’un gang, ils sont une famille, soudés, intouchables, invisibles. Alors qu’ils préparent leur dernier coup, la directrice d’un Palace engage Elias, un tueur à gages redoutable, pour les traquer, les identifier et les faire payer. Malgré le danger qui les guette, Nora et ses complices arriveront-ils à réaliser leur ultime braquage ?
Côté distribution, il y a un accent très rap avec Bosh, Chilla, Disiz, ou encore Alassane Diong. Au centre de la bande, Zoé Marchal, fille du célèbre Olivier Marchal, aux côtés de Franck Gastambide. Et le succès est au rendez-vous, puisque le film occupe la première place sur la plateforme Amazon Prime.
Franck Gastambide prend la parole suite aux accusations de violences sexuelles et physiques
Il y a quelques semaines, Mediapart a publié une enquête où six femmes ont accusé Franck Gastambide de violences sexuelles, physiques et psychologiques. Le producteur a décidé de prendre la parole. Gentsu vous dévoile tout.
Selon le média d’investigation, les récits des six femmes sont corroborés par de nombreux témoignages. Il est question de violences sexuelles, physiques et psychologiques. Trois des six femmes expliquent avoir été victimes sur et en marge des plateaux de tournage.
Le 12 février, l’acteur et réalisateur de 46 ans a contesté la majorité des mises en cause, il a pris la parole sur Instagram dans un long post où il évoque une affaire « déclenchée par les mensonges et la malveillance de personnes qui, poussées par la jalousie et la frustration, [le] harcèlent, [le] menacent et cherchent à [le] nuire ».
Franck Gastambide affirme par ailleurs s’être rendu chez Mediapart « avec un dossier d’une centaine de pages sous le bras » afin de « leur expliquer la véritable réalité des faits, preuves à l’appui ». Des éléments qui permettraient selon lui d’établir son innocence en démontrant qu’il n’est que la victime d’une campagne de déstabilisation menée par « la source principale de leur enquête ».