Ahmed Sylla divise après sa prise de position sur l’interdiction de l’abaya
Cela fait maintenant plusieurs jours que le sujet est au cœur de l’actualité. En effet, le gouvernement français a annoncé l’interdiction de l’abaya. De quoi indigner la Toile. De son côté, Ahmed Sylla a également réagi à ce sujet. Gentsu vous raconte tout.
Pour ceux qui n’ont pas suivi l’actualité ces derniers jours, le gouvernement d’Emmanuel Macron a récemment décidé d’interdire l’abaya. Il s’agit d’un habit traditionnellement porté majoritairement par les femmes dans les pays arabes. Ainsi, ce vêtement sera banni des établissements scolaires. À quelques jours de la rentrée, cela a suscité un grand scandale sur la Toile. D’ailleurs, cela n’a pas manqué de faire réagir plusieurs politiciens dont Jean-Luc Mélenchon. Ahmed Sylla s’est également exprimé à ce sujet.
Celui qui a échappé de peu à la m*rt s’est emparé de son compte X, anciennement Twitter, et a déclaré :
J’espère qu’un jour on mettra autant d’énergie dans le combat des vi*lences faites aux femmes, que celui de leur interdire de s’habiller comme elles le veulent. Les libertés prennent du « ferme » pendant que les prédateurs/vi*leurs/criminels/ prennent du « sursis ».
J’espère qu’un jour on mettra autant d’énergie dans le combat des violences faites aux femmes, que celui de leur interdire de s’habiller comme elles le veulent.
Les libertés prennent du « ferme » pdt que les prédateurs/violeurs/criminels/ prennent du « sursis ».
Triste époque
— Ahmed Sylla (@Ahmed_Sylla) August 29, 2023
Ahmed Sylla divise après sa prise de position sur l’interdiction de l’abaya
Si Ahmed Sylla a fait preuve de transparence en partageant son avis, l’humoriste ne s’attendait pas à cette réaction de la part des internautes. Dans son message, celui qui a taclé Blanche Gardin fait notamment un sous-entendu sur la peine de Jean-Marc Morandini pour harcèlement sexuel et travail dissimulé prononcé mardi dernier.
Ainsi, Ahmed Sylla a eu le droit à des personnes qui validaient son message tandis que d’autres ont un peu tiqué et n’ont pas manqué de le faire savoir en disant : « Un raccourci étonnant de votre part… Pas terrible comme prise de position », « Ça concerne des élèves du public et pas « les femmes ». Les libertés ne sont pas absolues. Quant aux vi*lences, les vraies, libre à toi d’en parler et de lutter contre avec ta notoriété. Dommage et paradoxal que tu en parles en défense de ce vêtement en particulier » ou encore « Moi qui ai toujours adoré ton humour et ta personne, ce tweet en pleine confusion de valeurs me déçoit énormément », « Une belle rime !!! Serait-elle le refrain d’une chanson ? ».