Jérôme Le Banner dévoile les conséquences du dopage sur son corps
Parmi les légendes des sports de combat français, on ne peut pas oublier de citer Jérôme Le Banner. Si les règles ont changé, le tricolore n’a jamais caché qu’il avait déjà eu recours à des produits il*icites pour un petit coup de pouce. D’ailleurs, il a révélé l’impact que cela avait eu sur son corps lors d’une interview accordée à La Sueur. Gentsu vous en dit plus.
Bien qu’il n’ait plus mis un pied dans l’octogone depuis 2021, Conor McGregor reste toujours l’un des athlètes les plus testés au cours des derniers mois. Il faut dire que le d*page est toujours un sujet sensible dans le monde du sport que ce soit le football ou les arts martiaux.
En ce qui concerne les sports de combats, certains n’hésitent pas à prendre des risques afin d’être encore plus fort et plus puissant. Alors il est peu probable qu’ils avouent qu’ils ont déjà boosté leur performance. Ce n’est pas le cas de Jérôme Le Banner qui ne s’en est jamais caché.
Jérôme Le Banner dévoile les conséquences du dopage sur son corps
Toujours à l’affût de ce qu’il se passe dans le milieu, Jérôme Le Banner n’hésite pas à donner son avis mais aussi à partager sa propre expérience. Au micro de La Sueur, celui qui ne comprend pas la défaite de Cédric Doumbé a évoqué sa consommation de produits dopants au début de sa carrière et a raconté :
Il n’y a pas eu une grande consommation mais le truc, c’est que quand j’arrive et que je vois Mike Bernardo qui est congestionné, tout ça… Je le vois, je me dis : « M*rde, p*tain », au tout tout début. J’avais combattu déjà une première fois, et puis il avait des grosses épaules, machin, balèze…. Et à l’époque, on n’était pas contrôlé au Japon. Et il me dit, il me parle de Dianabol, ok. Donc il commence à m’en parler et tout, et puis y’a des mecs dans la musculation qui me disent : « Ouais, ce truc-là, tout le monde le prend en Thaïlande. » Ils me disent : « Prends ce truc-là. » Donc je vais en Thaïlande, moi je vois ça, je fais la même chose sauf que moi, je prends hyper vite. Ça m’a donné des machins, des boutons partout, et puis ce qu’on appelle des « bitch tits ».
Mais cette consommation n’aura été que de courte durée…et tant mieux. Jérôme Le Banner s’explique :
Puis quand j’entends les gens… Si je prenais des produits, mon pote, j’aurais des seins comme ça, j’aurais des co*illes roupettes, (comme) des raisins de Corinthe. Ça n’a pas été longtemps, peut-être sur trois mois. Je ne bougeais plus, j’étais un bibendum. (…) Nan, je pouvais plus, j’étais m*rt. J’ai un physique comme ça.
Finalement, les effets secondaires l’ont vite refroidi.
