Conor McGregor (36 ans) visé par une plainte pour agressions sexuelles
Conor McGregor est toujours attendu au tournant pour son grand retour. Mais ces dernières heures, c’est pour un sujet moins joyeux qu’il a fait la une de l’actualité puisqu’il est accusé de faits graves. Gentsu vous en dit plus.
Depuis sa défaite contre Dustin Poirier,
Conor McGregor n’a plus remis un pied dans la cage.
Alors qu’il devait faire son retour en juin dernier face à
Michael Chandler, The Notorious a dû revoir ses
plans suite à une nouvelle bles*ure.
Mais finalement,
ce report a été une bonne chose comme l’a récemment indiqué
Docteur Brian Sutterer au micro d’Ariel
Helwani :
Je pense qu’il est à un stade où son prochain combat est extrêmement important, s’il y a un prochain combat. Je peux donc tout à fait comprendre qu’il ne veuille pas se lancer dans un combat quelque peu compromis […] si votre pied vous fait mal au point que vous ne pouvez pas vous défendre ou performer à un haut niveau, c’est terrible. Personne ne va se soucier de son petit orteil s’il finit par perdre ce combat. Donc je comprends à 100 %.
Conor McGregor (36 ans) visé par une plainte pour agressions sexuelles
Le retour de Conor McGregor est très attendu. Mais malgré son absence, il n’a pas totalement disparu puisque l’on peut assister à sa vie de débauche sur les réseaux sociaux. Mais cette fois-ci, son nom a été cité pour un sujet moins drôle. Et pour cause, le Daily Mail a révélé qu’une femme l’a accusé de viol en 2018.
Suite à sa plainte, la concernée demanderait des dommages et intérêts. Elle a aussi expliqué que le père de famille l’aurait clouée à un lit et violée dans un hôtel de Dublin. Au lendemain de son premier témoignage, la présumée v*ctime a précisé qu’au moment des faits, elle « s’est figée et ne pouvait ni bouger ni respirer ».
Elle a notamment ajouté :
La seule chose que je pouvais bouger, c’était ma tête, et je l’ai mordu et j’ai fait de mon mieux pour m’éloigner de lui. J’ai essayé de le pousser, de me tortiller et de faire tout ce que je pouvais […] J’essayais de me battre autant que possible. Il a mis son bras autour de mon cou et m’a étranglée trois fois […] Je n’arrêtais pas de penser que j’allais mourir et ne plus revoir ma fille. Il m’a laissé partir et je me souviens avoir dit que j’étais désolée, car je sentais que j’avais fait quelque chose de mal. Je voulais le rassurer en lui disant que je n’en parlerais à personne pour qu’il ne me fasse plus de mal.
L’affaire est toujours en cours.