Nawell Madani regrette sa série Jusqu’ici tout va bien

Le 16 Oct 2024 à 14:13 par Sikagz

Ce dimanche 13 octobre, Nawell Madani était invitée dans Un dimanche à la campagne. A cette occasion, l’humoriste est revenue sur ses regrets concernant sa série diffusée sur Netflix, Jusqu’ici tout va bien. Gentsu vous en dit plus.

En avril 2023, Nawell Madani a fait son retour sur Netflix avec sa première série : Jusqu’ici tout va bien. Le programme a beaucoup divisé à sa sortie mais cela n’a pas fait rougir la concernée. Quelques mois plus tard, des révélations avaient été dénoncées sur les conditions de tournage.

Plus d’un an après la sortie de Jusqu’ici tout va bien, Nawell Madani a admis avoir des regrets vis-à-vis de ce projet qu’elle défendait à la période où elle réalisait son rêve de devenir maman grâce à une ultime PMA qui aurait pu lui coûter la vie comme elle l’a confié ce 13 octobre 2024 dans Un dimanche à la campagne.

Nawell Madani regrette sa série Jusqu’ici tout va bien

Nawell Madani s’est retrouvé dans un dilemme lors de la création de Jusqu’ici tout va bien. Elle raconte :

Nawell Madani regrette sa série Jusqu’ici tout va bien Nawell Madani regrette sa série Jusqu’ici tout va bien

L’être humain est paradoxal… Je me suis battu dix-sept ans pour avoir ma fille. Au moment où je tombe enceinte, je suis en train d’écrire ma série, et j’ai un dilemme : soit je passe les premiers mois avec ma fille, soit je retourne travailler. Et (…) je le dis sincèrement, je ne le referais pas. Si c’était à refaire, je ne l’aurais pas fait : dix jours après mon accouchement, je repars au travail. Je le fais parce que je me dis qu’il faut qu’on puisse continuer à vivre.

Nawell Madani a ensuite évoqué sa part de regrets :

C’est l’expérience la plus dure de ma vie. Parce qu’une femme, après une grossesse, elle a besoin de se reposer ! J’étais fragile. Pendant que je tournais, j’avais des remontées de lait ! Je me mettais à pleurer parce que je ne comprenais pas ce qu’il m’arrivait. On m’envoyait une photo de ma fille entre deux prises ! Je tirais mon lait, il y avait un livreur qui venait le chercher pour le donner à ma fille. Je me disais : ‘mais, qu’est-ce que tu fous là ? C’est quelle façon de materner, toi qui en as tant rêvé ?’. C’était ma maman qui s’occupait de ma fille, c’était l’occasion de la revoir à la maison. Ma soeur, qui était à mes côtés, a tout fait pour que ma fille ne manque de rien, mon autre soeur me maquillait, mon mari co-produisait avec moi, on était en famille. Et en même temps, je mettais à l’image cette famille maghrébine. Je voulais parler de ces femmes fortes qui sont les piliers du foyer. Et j’ai tout donné pendant un an et demi.

Une leçon malgré tout pour la comédienne.

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