Affaire Poupette Kenza : Son mari arrêté dévoile un complot, l’influenceuse riposte !
L’affaire Poupette Kenza prend une tournure expl*sive ! L’influenceuse, emprisonnée pour une tentative d’extorsion de 350 000 euros, voit son mari se faire arrêter à son tour. Des messages compromettants surgissent, révélant un plan machiavélique. Mais Poupette contre-attaque et accuse son propre mari ! Qui dit vrai dans ce scandale qui secoue la toile ? Plongez dans les dessous de cette affaire où chaque révélation est plus choquante que la précédente !
Résumé :
- Poupette Kenza est incarcérée pour tentative d’extorsion de 350 000 euros
- Son mari, Allan Liehrmann, vient d’être arrêté à son arrivée en France
- Des conversations révèlent un plan d’extorsion élaboré
- Kenza affirme que les messages incriminants ont été envoyés par son mari
Le monde des influenceurs est secoué par une affaire qui ne cesse de rebondir. Poupette Kenza, star des réseaux sociaux suivie par des millions de fans, se retrouve au cœur d’un scandale aux allures de thriller. Accusée de tentative d’extorsion en bande organisée, l’influenceuse clame son innocence depuis sa cellule. Mais l’arrestation récente de son mari et la découverte de messages compromettants viennent jeter une nouvelle lumière sur cette affaire complexe.
De l’influence à la pris*n : la chute vertigineuse de Poupette Kenza
Le coup de théâtre a eu lieu en juillet dernier. Poupette Kenza, de son vrai nom Kenza Benchrif, est interpellée à son arrivée sur le sol français. Les autorités ne perdent pas de temps : garde à vue, mise en examen pour « tentative d’extorsion en bande organisée » et « association de malfaiteurs », puis incarcération. L’influenceuse est accusée d’avoir orchestré un plan pour extorquer pas moins de 350 000 euros à une ancienne associée.
Le stratagème allégué ne manque pas de piquant. Menaces, recrutement d’un homme de main, photos de sévices corporels… On se croirait dans un scénario de film de gan.gsters. Pourtant, c’est bien la réalité qui rattrape Poupette Kenza. Mère de deux enfants et enceinte d’un troisième, elle se retrouve maintenue en détention provisoire malgré une demande de remise en liberté. L’enjeu est de taille : elle risque jusqu’à vingt ans de prison.
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Le mari de Poupette Kenza tombe dans les filets de la justice
Alors que l’on pensait l’affaire en pause, un nouveau rebondissement survient le 23 septembre. Allan Liehrmann, le mari de Poupette Kenza, est interpellé à son tour. L’arrestation a lieu à 6h20, à sa descente d’un vol en provenance de Dubaï. Cette interpellation soulève de nouvelles questions : quel rôle joue-t-il dans cette affaire ? Est-ce un coup de théâtre qui pourrait mener à la libération anticipée de Poupette, comme le suggèrent certains observateurs ?
Dans les coulisses du scandale : les SMS qui font trembler l’affaire Poupette Kenza
L’enquête prend une nouvelle tournure avec la découverte de conversations sur l’application Signal. Ces échanges, entre un certain Éric Love O et une personne identifiée comme « Kenza », jettent une lumière crue sur l’affaire. Éric Love O y propose « cinq scénarios » pour récupérer l’argent auprès du couple Caroline-Walid, classés par ordre de violence croissante.
Les options vont d’une simple pression en se faisant passer pour l’agent de Kenza, jusqu’à des propositions plus inquiétantes comme « agre*ser le couple devant une crèche ». Plus troublant encore, la personne identifiée comme « Kenza » s’impatiente dans ces messages, pressant Éric Love O d’agir rapidement :
Frère, qui attend quoi là ? Gère moi ça vite. Je pense avoir fait preuve d’énormément de patience.
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Poupette Kenza contre-attaque : ‘Mon mari est derrière tout ça !’
Face à ces révélations accablantes, Poupette Kenza tente de se défendre. Devant la juge d’instruction, elle livre une version surprenante des faits : « Ces messages-là c’est pas moi, c’est mon mari. C’est lui qui a l’application ». Une déclaration qui soulève de nouvelles interrogations et pourrait expliquer l’arrestation récente d’Allan Liehrmann.
L’influenceuse maintient son innocence, affirmant :
Dans le fond, mon mari et moi, on n’est pas des criminels, on n’est pas des mauvaises personnes. On voulait juste récupérer notre argent.
Une défense qui semble fragile face aux éléments accumulés par l’enquête, mais qui pourrait rebattre les cartes de cette affaire complexe.