Poupette Kenza incarcérée : l’attitude de son mari Allan scandalise les internautes

Le 30 Juil 2024 à 10:01 par Sikagz

Arrêtée en début de mois en France, Poupette Kenza est toujours derrière les barreaux tandis que son mari Allan a refusé de la rejoindre. Depuis quelques heures, une vidéo de lui agace les internautes. Découvrez pourquoi.

Poupette Kenza a multiplié les polémiques ces derniers mois. Mais cette fois-ci, l’influenceuse n’a pas pu échapper à la justice. Alors qu’elle s’était rendue en France pour un mariage, la mère de famille a été arrêtée puis placée en garde à vue avant d’être incarcérée pour des faits graves.

En effet, Poupette Kenza est accusée de tentative d’extorsion en bande organisée et d’association de malfaiteurs. Enceinte de son troisième enfant, elle pourrait accoucher en pris*n. De plus, le journaliste Clément Garin a fait des révélations sur son mari et a déclaré :

Allan, l’époux de Poupette Kenza sommé de se rendre devant les autorités françaises, a choisi de rester fugitif et de laisser sa femme seule face à la justice. Selon plusieurs informations corroborantes, Poupette Kenza a appris que son mari refusait de se rendre à Paris. La jeune femme, incarcérée depuis dix jours, lui a imploré de se rendre pour « accélérer sa procédure de libération »... en vain. Seule la venue sur le territoire français d’Allan pourrait pousser le juge d’instruction à accepter une remise en liberté sous conditions de Poupette Kenza. Problème : le mari a pris la décision de « laisser sa femme en détention », tout en espérant pour cette dernière « qu’elle n’accouche pas en pris*n ». Le père de famille, activement recherché par les autorités françaises, qui cherchent à comprendre le rôle exact qu’il a joué dans l’affaire criminelle impliquant son épouse, craint que ses enfants « soient placés » s’il venait à être placé en détention provisoire en France. L’avocat de Poupette Kenza a été informé de la décision de l’époux de sa cliente de rester sur Dubaï… Une décision qui risque fort d’alourdir le dossier de Poupette Kenza, qui, de facto, reste en pris*n.