Kim Kardashian : huit ans plus tard, de nouveaux détails sur son braquage se dévoilent
En octobre 2016, Kim Kardashian vivait un moment traumatisant lors de son séjour à Paris pour la Fashion Week puisqu’elle a été braquée dans un hôtel privé. Huit ans après les faits, de nouvelles informations ont été révélés dans le livre de Patricia Tourancheau. Explications.
Kim Kardashian se souviendra longtemps de la nuit du 2 au 3 octobre 2016. En séjour à Paris pour la Fashion Week, l’ex de Kanye West a été séquestrée et braquée dans un hotel de luxe par un gan.g des papys braqueurs. Ils n’avaient pas manqué de la ligoter, bailloné et menacé tout en dérobant ses bijoux en diamant et en or. Le montant du préjudice s’élevait à plus de six millions d’euros.
L’un des protagonistes avait même décidé de s’en vanter dans un livre. Un autre avait témoigné au micro de Vice et avait affirmé qu’il s’en fichait si Kim Kardashian était traumatisée :
Nous sommes entrés par la petite porte qui était ouverte à l’intérieur. Dès que nous sommes entrés, nous avons maîtrisé le concierge. Nous l’avons ligoté. Ensuite, nous avons cherché les clés de la chambre où [Kim] logeait. Je suis resté en bas tandis que mes deux collègues sont montés à l’étage […] ils ont pris les bijoux, ils sont descendus (…) Je me disais : « Elle a beaucoup d’argent. Cette femme s’en fiche complètement ». Puisqu’elle jetait l’argent par les fenêtres, j’étais là pour le récupérer, et c’est tout. Des regrets ? Non, je m’en fiche. Je m’en fiche. […] Bien sûr, elle a dû être traumatisée. Ça ne fait aucun doute
Kim Kardashian : huit ans plus tard, de nouveaux détails sur son braquage se dévoilent
Cette affaire a suscité l’intérêt de Patricia Tourancheau qui a décidé d’y consacrer un ouvrage huit ans plus tard : Kim et les papys braqueurs : Main basse sur les bijoux de la Kardashian disponible depuis le 8 mars dernier.
Au cours d’une interview accordée à Ouest-France, l’auteure a donné des détails méconnus jusqu’à présent à ce sujet et a expliqué que les braqueurs préparaient un autre vol « avec une histoire de fauteuil pour handicapé et des repérages dans Paris ». Patricia Tourancheau a ajouté :
Mais comme j’en sais plus que la BRB [Brigade de répression du banditisme, NDLR], je ne vais pas en dire davantage. Je ne suis pas une balance. Une adaptation audiovisuelle est en cours. Je ne peux pas en dévoiler plus. On peut dire d’envergure internationale (…) Je suis allée à leur rencontre. Ça n’a pas été simple de recueillir leur témoignage. J’ai mis jusqu’à deux ans et demi pour boire un café avec certains.
Les suspects sont jugés devant la cour d’assises, entre le 28 avril et le 23 mai prochain, et ne connaissent pas encore leur sanction.