Booba s’en prend à Maeva Ghennam dans son nouveau morceau « 6G »
Ce vendredi 2 février, Booba a fait son retour avec un nouveau morceau, intitulé 6G. Dedans, le rappeur originaire du 92 s’en prend à Maeva Ghennam, Gentsu vous explique tout.
Depuis la sortie d’ULTRA en 2021, Booba se consacre à la production d’artistes, mais pas seulement. Le rappeur a tout de même envoyé des singles comme Sport Billy ou Signé. Il a aussi participé à plusieurs featurings, ce qui fait qu’il reste actif. Mais B2O voulait revenir en solo sur le devant de la scène. Pour cela, il a décidé de revenir avec un nouvel épisode de sa mythique série de morceaux débutée en 2015.
Ainsi, Kopp a sorti 6G, disponible sur toutes les plateformes de streaming depuis ce vendredi 2 février. Et dans ce nouveau titre, le rappeur n’a pas oublié ses rivaux, qu’il tacle dans chacun de ses morceaux. Cette fois, l’artiste lâche une pique à Maeva Ghennam :
La vie est une sal.ope. Comme Maeva Ghennam, elle doit changer de chatte.
Un clash qui n’est pas si anodin. Et pour cause, cela fait quelques années que les deux célébrités sont en clash. Il y a encore quelques semaines, la jeune femme avait révélé qu’elle s’était réconciliée avec le rappeur. Mais Booba a été clair, il s’agissait d’une intox, puis il a rajouté : « plutôt cre.ver ».
Booba apporte des précisions concernant l’affaire Magali Berdah
On le sait, Booba a plein d’ennemis. Il aime le faire savoir sur les réseaux. Depuis quelques années, il mène une bataille contre Magali Berdah. Et l’histoire va très loin puisqu’ils se retrouvent devant la justice. Ce 29 janvier, le DUC a été convoqué par le juge d’instruction. Le juge a aussi re-précisé les conditions de son placement sous contrôle judiciaire depuis octobre : ne pas contacter Magali Berdah.
Sur ses réseaux sociaux, l’artiste a pris la parole :
Je n’avais pas l’intention de m’exprimer sur le sujet mais face aux inexactitudes et contrevérités, je dois apporter quelques précisions. Contrairement à ce que raconte la plaignante, le procureur n’a jamais demandé de me placer en détention provisoire. Elle oublie surtout de raconter aux journalistes qu’en décembre dernier, j’ai gagné devant la cour d’appel de Paris sur l’interdiction de la mentionner sur les réseaux sociaux. La liberté d’expression a encore une signification en France. Plutôt que de s’agiter dans les journaux et de rêver de me voir en détention, elle ferait mieux de préparer sa défense dans les multiples affaires dans lesquelles elle doit rendre des comptes. En espérant ne pas finir en pris.on.