Larry (25 ans) explique qu’il a refusé un contrat à un million d’euros
Il y a quelques jours, Larry a accordé une interview à Colombien. Dedans, le jeune homme a confié qu’il avait refusé un contrat à un million d’euros. Il a expliqué les raisons, Gentsu vous révèle tout.
Petit à petit, l’artiste a réussi à se faire un nom dans le paysage du rap français. En 2021, lors de la sortie de son album Petit Prince, Larry a expliqué pourquoi il s’était lancé dans le projet de création du label Gotham Records avec sa famille :
On voulait d’abord éviter que je sois mal encadré. Dès que j’ai senti que j’avais l’équipe nécessaire, je me suis dit : “Pourquoi pas partir en indé ?” Et c’est ce que j’ai fait. C’est sûr que si j’avais été tout seul, avec un gars de mon quartier qui ne connaît rien aux papiers, qui ne connait pas les bonnes personnes, j’aurais peut-être signé un contrat d’artiste ou autre chose. J’ai eu la chance d’avoir une vraie équipe, ma famille, pour fonder tout ça.
Puis, il a expliqué qu’il ne connaissait rien à l’industrie au départ :
Tu es obligé de le prendre comme ça vient (rires). Au début, on ne connaissait rien à cette industrie. Pour moi la musique, c’était aller en studio, sortir un clip et fini. Après, j’ai appris qu’il y avait des interviews, des négociations, des contrats… De l’extérieur, je ne pensais pas que c’était un milieu autant axé sur le business. Je pensais que tu envoyais un son et voilà, tu attendais de voir si ça pétait. Je ne savais même pas qu’avec les plateformes de streaming, tu devais envoyer tes tracks en avance ! Tu apprends sur le tas constamment.
Larry se confie sur le contrat qu’il a refusé
Aujourd’hui, les propos de Larry sont toujours d’actualité. Il y a quelques jours, le rappeur a accordé une interview à Colombien. Dedans, le jeune homme a notamment confié qu’il avait refusé un contrat d’un million d’euros :
Moi on m’a déjà proposé un contrat à un million d’euros. J’ai dit non, faut les recouper gros. Ça m’intéresse pas, en fait moi je préfère prendre quelque chose de raisonnable parce que toute façon, je sais que nous on va se débrouiller. Petit à petit on a grave appris, là on est de plus en plus dedans. Par exemple, tu vois aujourd’hui, les éditions avant on était avec Universal. Là c’est fini. C’est nous, moi je prends nos propres éditions à 100%.