Jazz Correia s’attire les foudres après avoir comparé son bébé aux enfants palestiniens
Nouvelle polémique pour Jazz Correia. Cette fois-ci, l’influenceuse s’est permis une comparaison maladroite en évoquant son fils et les enfants souffrant du conflit israélo-palestinien. Un parallèle qui n’est pas du tout passé auprès des internautes. Gentsu vous explique tout.
Jazz Correia a passé une sacrée année entre les rumeurs graves avec l’affaire Dylan Thiry, les tensions dans son couple ou encore les altercations survenues pendant sa grossesse, l’influenceuse en a vu de toutes les couleurs.
Le 12 octobre dernier, Jazz et Laurent Correia ont accueilli leur quatrième enfant. Outre son accouchement compliqué, son fils a dû être placé en soins intensifs. Elle avait alors expliqué :
Notre fils est né. On n’est pas tout à fait prêt à partager tout de suite, car il y a eu des complications, il est actuellement en soins intensifs. J’ai pu le toucher trente secondes et là je ne le verrai pas avant demain… C’est très dur pour une maman d’être séparée directement comme ça, mais Laurent est là pour me soutenir. Ne m’en voulez pas si je ne réponds pas pour l’instant à vos messages. Tant que je ne l’aurai pas avec moi et tant que l’on ne me dira pas qu’il va bien, je ne peux pas répondre à vos messages de vœux alors qu’on est profondément tristes pour le moment. Certains vivent pire, alors guerrière comme toujours.
Jazz Correia s’attire les foudres après avoir comparé son bébé aux enfants palestiniens
Depuis, Love Shine va beaucoup mieux. Il y a quelques heures de cela, celle qui a poussé un coup de gueule contre les femmes de la salle de sport a lancé une session FAQ lors de son séjour en Afrique. Accusée d’avoir « lâché » son bébé pour son voyage au Kenya, la mère de famille est montée au créneau et a lancé dans un premier temps :
Alors, prématuré n’a aucun rapport, il a deux mois dans cinq jours.
Jazz Correia a ensuite révélé qu’elle avait besoin de se retrouver en amoureux que la famille passait d’abord par le papa et la maman puis les enfants. Puis, elle a fait une comparaison qui a retourné la Toile en évoquant son absence de quatre jours :
Les enfants palestiniens et israéliens qui vivent dans la terreur eux sont des malheureux. Pas mon fils.
Un message maladroit qui n’est pas du tout bien passé.