A son tour escroquée, Maeva Ghennam ne serait pas propriétaire de sa maison
Les galères s’accumulent pour Maeva Ghennam. Cette fois-ci, l’influenceuse a découvert qu’elle était au cœur d’une embrouille lors de l’achat de sa maison à Dubai. En larmes, elle a expliqué comment cela avait été possible. Gentsu vous raconte tout.
Alors que Booba ne cesse d’éteindre les influvoleurs sur les réseaux sociaux au sujet de leurs différentes histoires, Maeva Ghennam n’est pas au bout de ses peines. Et pour cause, la candidate de télé-réalité a elle-même subi une escroquerie lors de l’achat de sa maison à Dubai.
C’est dans sa story Snapchat que celle qui a été empoisonnée par sa femme de ménage a raconté comment elle avait découvert tout cela. Maeva Ghennam a commencé par expliquer dans un premier temps :
Je ne suis pas bien, je vais m*rir, je suis en larmes. Il m’arrive une dinguerie ! Je me suis fait voler, je crois ! J’ai trop peur. Mon architecte m’aide. J’espère que je vais régler ce problème. Je vous jure, je vais faire un malaise.
A son tour escroquée, Maeva Ghennam ne serait pas propriétaire de sa maison
Toujours dans sa voiture, Maeva Ghennam en a dit davantage sur comment cela avait pu être possible :
Écoutez bien ce qu’il m’arrive. J’ai acheté une maison il y a plus d’un an. Elle n’était pas encore construite, ce n’était que des briques. Je vais voir le promoteur pour lui dire que je veux acheter la maison. Il me dit : ‘Ok, mais il faut faire une avance, un déposit.’ Je lui donne 500 000 euros et il me donne le papier. Il me dit que la maison est finie dans un mois. Au bout de quatre mois, ça n’avance pas. Alors, je m’embrouille avec lui ! Il me fait galérer, puis finit la maison huit mois plus tard…
Le promoteur aurait augmenté le prix de sa demeure au moment de la signature avec le notaire. Le hic ? Maeva Ghennam a découvert… qu’elle n’était pas propriétaire de la maison en question. Celle qui a été clashée par Booba a ajouté :
Je pète un câble ! J’ai signé des papiers sans comprendre parce que je ne parle pas un mot d’anglais. Alors, je fais la pigeonne et je paye en plus ! J’ai payé la maison beaucoup plus chère que ce que je devais… Quand j’engage l’architecte pour faire les travaux, il me demande les papiers de la maison, car, pour commencer, il faut des autorisations. Il m’apprend que le promoteur n’a pas mis les papiers à mon nom. Pour Dubaï, je suis propriétaire du terrain, mais pas de la maison ! Elle ne m’appartient pas !
Cela dit, Maeva Ghennam ne compte pas se laisser faire. Son architecte serait en train de trouver une solution pour l’aider à récupérer le bien. S’ils n’y parviennent pas, elle compte porter plainte. Affaire à suivre.