Jérôme Le Banner livre des détails sur ses combats avec Edouard Philippe
Édouard Philippe a plusieurs cordes à son arc. Passionné de boxe, l’homme politique a eu l’occasion de s’entraîner à plusieurs reprises avec Jérôme Le Banner. Ce dernier a d’ailleurs commenté son niveau et c’est plutôt surprenant. Gentsu vous explique tout.
Cela fait maintenant un petit moment que Jérôme Le Banner a mis le kickboxing de côté. Depuis le début de sa carrière, le sportif a côtoyé de nombreux athlètes comme Ciryl Gane, qui a levé le voile sur les entraînements de la star ou encore Jean-Claude Van Damme, qui l’apprécie énormément.
Avant de devenir Premier Ministre, Edouard Philippe a été le maire du Havre, ville d’origine de Jérôme Le Banner. C’est notamment à cette occasion qu’ils ont eu l’occasion de combattre ensemble à plusieurs reprises.
Jérôme Le Banner livre des détails sur ses combats avec Edouard Philippe
Dans une interview accordée au Parisien, Jérôme Le Banner a eu l’occasion d’évoquer le niveau en boxe d’Edouard Philippe. Et le moins que l’on puisse dire c’est que c’est inattendu. « Quand il a commencé, il n’avait pas d’aptitudes spéciales. Mais il s’est énormément entraîné. À force, il aurait pu faire une jolie carrière, car c’est un bon petit boxeur avec une belle droite, sans vouloir faire de jeu de mots. Mais je crois que la perspective d’arriver à l’Assemblée avec des coquards l’a fait hésiter. » a expliqué dans un premier temps celui qui s’est imposé face à Adnan Alic pour son dernier combat de MMA en France.
Sacré champion du monde à plusieurs reprises dans sa discipline, Jérôme Le Banner est bien placé pour juger ses capacités. D’ailleurs, un autre point qui a marqué Geronimo, c’est le côté passionné et assidu d’Edouard Philippe : « Il s’entraînait avec mon coach, Madjid Nassah. Il était là le lundi, le mercredi et le vendredi. À 7 heures du matin, il était dans la salle sans relâche, sans vouloir se faire remarquer, pendant une grosse heure. J’ai croisé les gants plusieurs fois avec lui. Je l’appelais Monsieur le maire. Il me reprenait à chaque fois pour me dire : Mais, Jérôme, arrête ! Appelle-moi Édouard ! » Une anecdote plutôt sympa qui donne le sourire notamment à ceux qui ne s’attendaient pas forcément à ce qu’il aime autant cette pratique.