Djimo demande pardon après ses propos sur le peuple marocain

Le 10 Avr 2023 à 15:28 par Sikagz

Il y a quelques heures de cela, Djimo participait à l’émission « Banc de touche » sur la chaîne Youtube de Parions Sport. Devant Marquinhos, l’humoriste a tenu des propos qui en ont choqué plus d’un(e) concernant le peuple Marocain. Face à la polémique, il a présenté ses excuses. Gentsu vous dévoile tout.

Le week-end a été riche en émotions pour Marquinhos. Et pour cause, le capitaine du PSG a annoncé sa prolongation au sein du club de la capitale. « Prolonger ? J’espère bien. On est sur les derniers détails. Mon 400e match avec Paris ? Pour moi, c’est incroyable. Je n’imaginais pas ça quand je suis arrivé. J’étais jeune, je pensais juste à m’amuser et à jouer. Il y a eu des bons moments, des moments difficiles, mais comme je l’ai déjà dit, j’ai toujours eu la même passion pour donner le meilleur sur et en dehors du terrain. J’espère faire encore 100, 200 matchs… Le plus possible ! » a-t-il confié juste après le match PSG/Nice où Christophe Galtier est monté au créneau.

Djimo demande pardon après ses propos sur le peuple marocain

Lors de l’émission Banc de touche sur la chaîne Youtube de Parions Sport, Marquinhos a évoqué la fois où il a mal vécu un restaurant au Maroc. « Comme j’ai été en pré-saison là-bas et les entraînements étaient forts. Je revenais de vacances, peut-être que j’ai chopé un virus. Mon immunité était basse. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé, je n’arrivais pas à manger ». Djimo a alors ajouté : « Il ne faut pas manger au Maroc. La petite soupe il ne faut pas la boire. Tu ne sais pas là-bas ils font du « shour » (NDLR : sorcellerie).

Quelques heures après ses paroles qui en ont divisé plus d’un(e), l’humoriste a pris la parole et a demandé pardon : « Bonsoir les amis, voilà une petite vidéo pour les propos que j’ai tenus sur le peuple marocain sur la vidéo de Marquinhos. J’ai senti que je vous ai beaucoup heurté (…) Je comprends, je m’en excuse. Mon but n’était pas de stigmatiser le peuple marocain mais je n’ai pas mesuré la portée de mes mots, je ne savais pas que c’était autant tabous ».